vendredi 27 juillet 2018

LONGÉVITÉ - LE SCÉNARIO DU PIRE

Vivre bien, le plus longtemps possible. 

C’est important, mais il est tout aussi important de s’interroger sur les conséquences collectives de la longévité. C’est un sujet essentiel. Peu de gens osent l’aborder, car il fait peur. 
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 Li Ching Yuen, un chinois aurait passé 256 ans sur la terre des hommes. Il serait né en 1677 et mort en 1933. Avant de mourir, il a révélé les secrets de sa longévité. Vraiment incroyable quand on sait que l’espérance chez les occidentaux se situe entre 70 et 85 ans

Selon un article du New York Times paru en 1930, Wu Chung-chieh, professeur émérite de l’université de Chengdu, a découvert des manuscrits du gouvernement impérial chinois en date de 1827 qui félicitent Li Ching-Yuen pour son 150ème anniversaire et d’autres documents attestent qu’il a aussi été félicité pour son 200ème anniversaire en 1877.

Li Ching Yuen aurait commencé sa carrière d’herboriste à l’âge de 10 ans, où il a rassemblé des herbes des chaînes montagneuses et a appris à connaitre leur puissance en matière de longévité. Pendant près de 40 ans, il a survécu grâce à un régime d’herbes telles que le lingzhi, la baie de goji, le ginseng sauvage, l’il Shoo wu et le gotu kola ainsi que le vin de riz.

Selon les récits généralement reconnus et racontés dans sa province, Li a été en mesure de lire et d’écrire quand il était encore un enfant en bas âge, et à l’occasion de son dixième anniversaire il a voyagé en Kansu, Chansi, au Tibet, à Annam, dans l’empire Siam et la Mandchourie pour récolter des herbes.

En 1749, à l’âge de 71 ans, il rejoint les armées chinoises en tant que professeur d’arts martiaux.

Pendant ses cent premières années, il a poursuivi les recherches de sa profession. Puis il est passé à la vente d’herbes recueillies par d’autres personnes.
Wu Pei-fu, le guerrier qui est allé le voir pour connaitre tous ses secrets, voici la réponse du vieillard « Restez calmes dans votre cœur, asseyez-vous comme une tortue, marchez comme un pigeon et dormez comme un chien. »
 Li maintient qu’une vie intérieure paisible combiné à des techniques de respirations étaient les secrets pour une longévité incroyable. Evidemment, son régime alimentaire a joué un rôle important. Mais c’est fascinant de voir qu’une vieille personne a pu vivre aussi longtemps sans ne jamais perdre la tête.
Li qui s’est marié 23 fois et engendré plus de 200 enfants disait être un personnage bien-aimé de sa communauté.
Sur son lit de mort, le vieil homme a déclaré « j’ai fait tout ce que je devais faire dans ce monde. »

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Bientôt 60 000 centenaires en France… si la Sécu ne fait pas faillite.
Or, il ne faut pas se voiler la face. 
De plus en plus de personnes s’inquiètent que nous soyons trop nombreux sur cette terre. En particulier, il y aurait « trop de personnes âgées ». Selon l’Insee, la France compte 15 000 centenaires en 2016, elle en comptera 60 000 en 2060.
Cela à condition bien sûr qu’un système soit trouvé pour continuer à financer les besoins des personnes âgées. 
Cependant, il ne faut pas se faire d’illusions. 
Plus le temps va passer, plus la crise économique et financière va s’aggraver, plus le trou de la Sécu va se creuser, plus forte va devenir la pression sur les personnes âgées. 
Personnellement, je n’exclus pas que les soins soient progressivement réduits pour les personnes les plus âgées et les plus malades. 
Les médias préparent l’opinion à des restrictions contre les personnes âgées. 
Restreindre l’accès au soin des personnes âgées, c’est déjà un « marronnier » dans la presse.

Ainsi en août 2012, le journal Le Monde titrait : 
 « Les personnes âgées dépendantes prennent trop de médicaments. »
En septembre 2013, le journal Le Figaro titrait : 
« Les personnes âgées prennent trop de médicaments » (notez le glissement du sens, avec la suppression du mot « dépendantes »).
Le 22 octobre 2015, RTL annonçait : 
« Attention, les personnes âgées prennent beaucoup trop de médicaments » (cette fois, le ton devient alarmiste).

Puis à nouveau cette année, le 9 mai 2016, dans le journal Le Monde : 

« Trop de prescriptions inappropriées pour les personnes âgées ».

On est en train de prépare l’opinion publique. 
Les prestations santé dramatiquement réduites
D’ici peu, les autorités nous expliqueront que, « pour leur bien » (c’est très important dans la tactique), il est nécessaire de restreindre la consommation de médicaments des personnes âgées. 
Des consignes seront données aux médecins, d’abord sur la base du volontariat. 
Puis, comme cela n’aura pas suffi, un membre du gouvernement annoncera qu’une politique « volontariste » va être lancée pour résoudre le problème. 
« Volontariste » est ce terme bizarre employé quand, justement, une décision est imposée contre la volonté des gens. 
On vous dira : 
 « Chère Madame (ou cher Monsieur), il existe un traitement efficace contre vos douleurs ou votre maladie. Malheureusement, vu le coût et vu votre âge, les soins ne sont plus pris en charge. »
Bien entendu, ces mesures seront justifiées par un appel à la « responsabilité » et à la « solidarité » des citoyens. 
« Pousser les vieux vers la sortie »
Ce n’est pas pour rien que la presse publie régulièrement des articles dérivés d’un célèbre texte intitulé « Le coût des derniers mois » publié dans le magazine La Recherche en 1999 : 
« L’âge entraîne une accélération de la consommation individuelle de soins. En outre, les pathologies traitées sont plus coûteuses. Si l’on exclut les personnes ne consommant pas de soins, la prise en charge annuelle moyenne par le régime général de l’assurance maladie des personnes entre 70 et 80ans est le triple de celle des 20-30 ans. Et l’écart s’accentue encore aux âges les plus élevés : les personnes de 80 ans et plus coûtent en moyenne deux fois plus cher au régime général qu’une personne de 60 à 69ans dans la même situation.» 
Habituer la population à l’idée que « les vieux coûtent trop cher » est une étape essentielle de la stratégie. 
Après avoir pris comme prétexte de combler le « trou de la Sécu », d’autres arguments du type « équilibrer le système des retraites » ou même « protéger l’environnement » seront utilisés pour « pousser les vieux vers la sortie ».
La solution pour éviter ce scénario du pire n’est pas évidente. 
Elle passe certainement par un changement des rapports entre les jeunes et les personnes âgées dans la société. Les solidarités familiales sont appelées à reprendre le rôle prépondérant qu’elles ont toujours eu. Les jeunes s’occuperont des anciens. 
Réciproquement, les anciens doivent, dès aujourd’hui, se préoccuper de la capacité des jeunes à les assumer, le moment venu. 
Tout aussi important, ou plus important encore, chacun doit reprendre le contrôle de sa propre santé. Cesser de s’en remettre à un système de « prise en charge » qui, un jour ou l’autre, peut arrêter de fonctionner, ou devenir fou. 
À ce moment-là, les personnes qui auront pris des précautions, qui auront pris soin de leur santé, qui sauront se passer au maximum de médicaments chimiques et de soins médicaux compliqués, seront les mieux loties. 
Ce sont celles qui sauront se servir des produits naturels, des plantes, des aliments qui soignent, des produits simples comme les vitamines, les cataplasmes, les recettes de grand-mère naturels et peu coûteux…

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Franchement vous voyez des signes de décroissance, d’une quelconque amélioration ?
  • La suppression des budgets militaires ?
  • Un ralentissement de la destruction de l’environnement ?
  • Une protection mondiale de la biodiversité ?
  • L’interdiction de la chasse et de la pêche de loisir ?
  • Une diminution de la pollution de l’eau, des mers, de l’air, des terres ?
  • Une amélioration de la santé, l’éradication des maladies ?
  • La disparition de la famine ?
  • L’installation d’une justice sociale ?

RIEN, bien au contraire, la machine s’emballe, nourrie à coups de milliards de dollars, qu’elle engloutit sans plus rien donner en échange.
Ah… si ! Un immense nuage de fumée qui enveloppe toute la terre et embrume notre cerveau.
La population mondiale atteindra bientôt 10 milliards d’individus, cette masse énorme d’êtres humains n’intéresse le système capitaliste et sa «Machine Broyeuse de Vies» qu’en tant que consommateur-payeur. Mais la puissante «Machine» a un talon d’Achille, elle doit obligatoirement — sous peine de disparaitre — sans cesse, croître, grossir, se développer. En termes économiques, générer du profit, des dividendes, faire du chiffre, du bénéfice, du cash flow, etc. Le moindre recul, une stagnation ou un simple ralentissement, la plus petite crise économique et c’est l’affolement chez les Capitaines d’Industrie — c’est comme ça qu’on les appelle — ceux qui sont aux commandes de la Machine.  
— Alarme… vite, vite, la Machine doit manger en permanence, toujours, sans interruption, sinon la Machine va mourir. Elle va entrer en dépression, faire faillite, récession, Grande Crise.
— Ah… oh… hiiiii….
— Trouvez des nouveaux marchés rapidement « Non de D….. ». 
— Des espaces, si possible vierges et pas chers. 
— Trouvez de la main-d’œuvre nombreuse et pas chère. 
— Oú… ? N’importe où, dans le désert, dans les forêts tropicales, au fond de l’océan, au pôle Nord ou Sud… 
— Remuez-vous les fesses… sinon c’est fini, plus de parachutes dorés, plus de stock-options et même plus de salaires. 
— Quoi ? Ils sont protégés par les lois de protection de l’environnement… c’est quoi ce truc, les lois c’est nous qui les concoctons et qui les imposons… non ?
— Oui, mais il y a le peuple qui vote, dans les démocraties, il faut bien leur donner quelques miettes de temps en temps, sinon c’est la révolution, et la révolution c’n’est pas bon pour nous, pour notre image, pour les affaires.
— Bon, alors allez en Chine, en Inde, là il y a du monde et de l’espace.
— Oui chef… et après ?
— Comment après… après quoi ? Après la Chine, après l’Inde. Il restera encore l’Afrique, bon il faudra investir dans les infrastructures, mais là, pas de démocratie pour nous mettre des bâtons dans les roues, il suffit d’arroser à bon escient les bonnes personnes, au bon endroit et l’affaire est dans le sac. Avec ces territoires on va pouvoir nourrir la «Machine» encore un bout de temps. Après on s’en fout, nous, nous ne serons plus là.



Si seulement 20 % des hommes et des femmes de la planète prenaient conscience des manipulations sordides dont ils sont l’objet, ils pourraient enclencher une décroissance qui serait rapidement fatale à «La Machine » qui s’effondrerait comme une baudruche vide.
Ensuite, les individus qui n’auront pas été décérébrés — mais en restera-t-il encore ? – pourront reconstruire un monde nouveau, en évitant les erreurs du passé.

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Après avoir vu, au cours de ma vie au long cours, tomber autour de moi — comme sur un champ de bataille — d’innombrables êtres aimés, proches parents, amis, collègues, voisins ; tous, victimes de l’arrogance, de la suffisance et parfois de l’incompétence de la médecine moderne, et de la confiance sans faille mise en elle.

Doté d’un esprit critique et rebelle, j’ai découvert l’impuissance et les limites de la médecine scientifique à la mort de mon épouse, décédée à 35 ans d’un cancer, après avoir été littéralement disséquée par une horde de vampires en blouse verte. 

❤️🧡💛💚💙♥️😍😇





Florence ma femme actuel vient de mourir brutalement (en 3 heures) d’une rupture de l’aorte abdominal.  2 cas en 10 ans dans l’hôpital régional ou elle a été amenée au urgence.

2 heures pour diagnostiquer le problème, c’était déjà trop tard.

R.I.P.



Voir sur mon blog :

Bon… qu’il y ait des échecs et des limites à cette médecine symptomatique, je l’admets volontiers, mais ce qui est insoutenable, c’est le totalitarisme exclusiviste du corps médical. Jamais aucune remise en question, un esprit de clan qui cultive le secret, avec ses codes, son langage, sa littérature, qui n’admet pas les échecs ni les erreurs de diagnostic. La grande muette c’est plus l’armée, c’est le corps médical et ses nombreux sous-traitants.

Toi, pauvre pékin inculte, malade et tremblant de peur, assis devant un de ces Professeurs Sommités, attendant l’ordonnance de la sentence ; Cancer, Sida, Alhzeimer, Parkinson… et le mode de torture ; opération, ponction, greffe, rayons, chimio, dialyse, etc. — ne vous inquiétez pas, gardez un bon moral, tout va bien se passer, dit-il en vous tapant sur l’épaule, de toute façon il n’y a pas d’autre alternative, au revoir. Merci docteur, merci la médecine, merci la science, ouf…me voilà rassuré, je me couche dans mon moelleux lit blanc électrique, tranquillisé ; je suis en de bonnes mains.

Immédiatement la "Machinal" (contraction de machine et hôpital) se met en marche. Happé brutalement par l’organisation tentaculaire de la pieuvre médicale, malaxé, broyé, trituré, analysé et habillé-blanchi. Exclu du monde des biens portants, ton nom n’est plus — Dupont, Martin ou Schmit mais le lympho-sarcome de la 603, ou le cas intéressant de la 306. Transféré, dans la Ville des "atteints", ta nouvelle adresse c’est : Hôpital Pitié-Espérance — service d’oncologie - No. 603 — pseudo : "Patient 1024".

Parfois, si t’es né sous une bonne étoile et avec une solide constitution, ta maladie va être tuée avant toi et le miracle s’accomplit, tu t’en sors, certes moribond et affaibli, mais toujours vivant. Immédiatement t’es rejeté hors les murs de l’antre de la pieuvre — comme un vulgaire morceau de bidoche inconsommable. Pour mieux t’attendrir, on te file une dizaine de boîtes de bonbons colorés à consommer régulièrement, au cas où ton corps se rebellerait et voudrait en faire à sa tête et prendre les commandes en cas de rechute.
Ça c’est le scénario pour les 95 % des "croyants". Ne mettre que le petit doigt dans l’engrenage de cette machinerie bien huilée, et hop… tout le corps y passe, y compris ta tête et ce qu’il y a dedans. Tu ne le sais pas encore, mais en plus, ce que tu as perdu de plus cher, c’est la liberté sur ta vie et sur ta mort. Perdre son âme pour sauver son corps, c’est le prix à payer pour exister encore un bout de temps.
Pour les autres, les rebelles, les aventuriers, les allumés, les éclairés, les ressuscités, les miraculés – Il existe une autre voie, une autre médecine, une médecine sans médecins !!!, enfin, presque, puisque chacun est son propre médecin.

Menteur, charlatan, imposteur, démagogue — je vous entends hurler, anathématiser, condamner, vous tous, les professionnels de la restauration, les salariés des services de maintenance du vivant :
Sommités, Grands Professeurs, Médecins, Docteurs : spécialistes en spécialités - anesthésistes du cerveau - radiologues qui irradient — IRMistes - généralistes — mettons à part les chirurgiens, tant qu’il y aura des guerres, des attentats, des voitures et des trains qui se crashent, ils seront nécessaires pour le rafistolage des corps déchiquetés par la bestialité humaine.

Mais n’oublions pas les principaux pourvoyeurs-fournisseurs de la "Machinal" ; les "Pharma" en connivence avec les industriels de l’agro-alimentaire, accompagnés de leurs petits soldats aux ordres ; chimistes, biologistes, généticiens, chercheurs ; tous dans le même sac.  Pour eux, un seul credo, le fric et la gloire, à n’importe quel prix. Pour cela, une formule simple, rendre les gens malades, de plus en plus malades, mais attention… sans les tuer immédiatement, ainsi impossible de faire le lien, t’es foutu en 30 ou 40 ans, pas de preuves, pas de liens scientifiques avérés, selon la formule consacrée, le crime parfait.  Tous y trouvent leur compte et entassent leurs milliards sur des milliards de morts, d’insupportables souffrances, des montagnes de désespoirs. 
Absout, non, quand même pas – Une justice tout de même, tout ce beau monde est sur le même bateau, et n’échappe pas à la sinistre faucheuse, qu’ils ont mis en place. Toutes ces maladies sournoises, répandues par leurs soins, ils finissent aussi par en mourir… ouf. Dieu pardonne-leur si tu veux, ils ne savaient peut-être pas ce qu’ils faisaient, mais moi je ne leur pardonnerai jamais, car je suis certain qu’ils le savaient. Tous complices, tous coupables.
La preuve… !! une seule suffira ; pourquoi ne cherchent-ils jamais la véritable cause des maladies, la cause ultime, celle qui mettrait fin à la plupart d’entre elles, celle qui redonnerait l’espoir d’une vie meilleure, sans cette épée de Damoclès en forme de crabe suspendue sur chacun d’entre nous.  
En… mettons 2 à 300 ans, mais particulièrement ces 50 dernières années pas l’ombre d’une piste, pas la moindre idée de génie, malgré les milliards consacrés à la recherche, au contraire, des nouvelles maladies surgissent et parfois resurgissent à tout moment. Hélas, il n’y a aucune chance qu’ils la trouvent dans leurs laboratoires, ni dans les binoculaires des super-microscopes, encore moins dans les gènes, pourtant bien pratiques comme boucs émissaires, — c’est génétique et héréditaire — point à la ligne. Ah oui !! et pourquoi ces gènes s’altèrent-ils ? eux qui ont fait ce que nous sommes, eux qui viennent du fond des temps, eux qui sont à l’origine du vivant — mystère !!!! Pas tant que ça, tous les bio-généticiens le savent — il n’y a que deux choses capables de modifier les gènes : les radiations et les produits chimiques. Je vous laisse conclure.
Toutes professions confondues œuvrant dans le médical, le para-médical, la recherche, l’industrie alimentaire et l’agro-industrie, c’est plus de 500 millions de travailleurs hautement qualifiés, à travers le monde. Un système de santé global brassant des milliards de $.



Vous vous rendez compte si Jésus revenait et guérissait tous les malades ou si un génie découvrait la panacée universelle !! Ce qui en résulterait, c’est des millions de personnes au chômage et une terrible crise économique. Rassurez-vous… ILS ne laisseront jamais un tel prodige s’accomplir, ni aucune formule infaillible voir le jour. C’est toute la société industrielle moderne, construite par les scientifiques qui serait remise en cause.

Prochain article : 

LE BIZNESS DE LA VIE ET DE LA MORT
N'attendez pas d'être vieux pour rester jeune




Gérard Wenker - Aout 2018









LES NUISIBLES

LES NUISIBLES

Pratiquer réflexion et méditation, accompagnées d’une alimentation saine biologique et macrobiotique depuis de nombreuses années, m’a permis de rester lucide sur les réalités des forces qui tentent de prendre possession de notre capacité de réflexion, sous couvert d’économie libérale mondialisée.
Je regarde notre humanité courir à sa destruction, malgré les cris d’alarme de plus en plus nombreux qui se font entendre aux quatre coins de la planète. Rien n´y fait, le rouleau compresseur du capitalisme écrase tout sur son passage.
Le plus grand danger vient des puissants lobbies, ces groupes de pression politique, mise en place par les multinationales, qui sont capables de fausser volontairement en leur faveur les données scientifiques les plus crédibles, qui pourraient nuire à leur réputation et diminuer les gigantesques profits que ces sociétés accumulent par milliards.
On en distingue 3 groupes :
Ceux qui mettent directement notre intégrité physique et mentale en danger.
Ceux qui détruisent et polluent l’environnement planétaire durablement.
Et je rajoute, le corps médical qui, hypocritement, réussit l’exploit de nous faire croire qu’il va éliminer le confortable trône d’or sur lequel il est assis. Même si cela était possible, la filière médicale directe et indirecte représenterait dans les pays développés (2 milliards en 2000) plus de 20 % de la population active. (Soit 400 millions)

Rappelez-vous : « Certains sont si amorphes et tellement dépendants du système qu’ils se battraient pour le conserver. » voir Matrix.

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Mais pourquoi veulent-ils notre mort ?

Les plus dangereux, car mettant en cause directement notre intégrité corporelle et la santé des populations : Les Pharmas — Les Cigarettiers — Les Grainiers — L’agroalimentaire et toute la chaîne alimentaire industrielle. L’agriculture productiviste à la solde des chimiques, qui comprend toutes les filières nourricières humaines, végétales, animales, de la viande aux produits laitiers en passant par l’eau potable.
De même, les sociétés minières et pétrolières, qui détruisent la Nature et polluent à tout jamais notre environnement. Ces puissants Groupes ont développé une véritable machine de guerre, capable de produire un rideau de fumée destiné à cacher la dangerosité de leurs activités, et même pour certains (Pharma. Agrobusiness. Corps médical) de se faire passer pour les bienfaiteurs d’une humanité souffrante.
Toutes les plus grandes marques de produit dans le monde sont détenues par une poignée de corporation. Aliments, produits de nettoyage, banques, compagnies aériennes, voitures, entreprises médiatiques... tout est dans les mains de ces géants. Ces graphiques montrent comment tout est lié.
Biens de consommation
Dans les supermarchés, comme vous pouvez le voir dans le graphique en haut — Mondelez, Kraft, Coca-Cola, Nestlé, Pepsico, & palie, Johnson & Johnson, Mars, Danone, General Mills, Kellogg et Unilever possèdent tout..


Au fil des années, grâce à la collaboration active des gouvernements, et aidés par une publicité envahissante mensongère, ils ont peu à peu modifié notre capacité de jugement pour nous faire douter de faits réels et démontrés. Tout cela, bien sûr, pour le bien des hommes, pour leur santé, pour nourrir l’humanité et même pour notre bonheur.
Malgré l’explosion des maladies dégénératives, la multiplication des cancers, y compris chez les jeunes enfants, l’épidémie d’obésité, la stérilité masculine qui progresse, et les preuves qui s’accumulent, mettant en cause les millions de nouvelles molécules de synthèse, introduites subrepticement à tous les niveaux dans l’alimentation et dans notre proche environnement, les laboratoires de ces puissants groupes dénient, nient et faussent les résultats pour démontrer, preuve à l’appui, l’innocuité totale de leurs produits.
Passez votre chemin, tout est sous contrôle, nous sommes dans les normes. 
Oui, mais voilà, qui fixe ces normes, soi-disant sans danger pour notre santé : EUX.
Qui ça eux ?
Les profiteurs du système:
Les patrons des multinationales et leurs lobbyistes politiques, les scientifiques aux ordres de la main qui les nourrit, les gouvernements, les stations agronomiques, les chimistes nationaux, les médecins, toute la filière médicale, les vétérinaires, les éleveurs, les agriculteurs, les viticulteurs, toute la filière de l’agro-business, les constructeurs automobiles, les pétroliers et les nucléaires qui fournissent l’énergie pour alimenter la machine, les banquiers qui financent l’ensemble et mangent à tous les râteliers, les publicitaires qui nous font prendre des vessies pour des lanternes, et j’en passe…et j’en passe. Ça fait du monde.
Et qui paye l’addition finale… NOUS.
Nous, les consommateurs pris au piège, nous payons deux fois : avec notre argent, avec nos souffrances, et finalement avec notre vie.
Qui peut stopper cette machine infernale qui va tout détruire, et qui va faire disparaitre l’homo sapiens, les animaux, les végétaux de la surface du globe, qui pollue et stérilise l’air, les mers et les terres, qui veut transformer la nature luxuriante terrestre en un paysage lunaire, pour finalement aller sur la lune pour la modifier afin qu’elle soit capable d’accueillir les hommes quand la terre ne sera plus viable.
Mais qui alimentera la « Machine Broyeuse de Vies » quand nous aurons tous disparu ?
Vous pensez que cela n’arrivera jamais… dites-vous… !
Chacun, selon ses croyances, espère qu’il y aura un Sauveur qui stoppera à temps la destruction de la planète et qu’une poignée d’hommes clairvoyants se dressera devant la « Machine Broyeuse de Vies ».
À temps peut-être. Oui… mais quand il ne restera plus que quelques communautés humaines, perdues dans une haute vallée, réfugiées dans les montagnes ou sur une île isolée au milieu de l’océan. C’est déjà arrivé par le passé, La Nature a tout son temps pour reconstruire la diversité et la beauté de la vie. Il faudra des millions d’années, mais la terre s’en remettra, mais ce n’est pas certain qu’il y aura encore des hommes pour admirer encore une fois ce miracle.
Que faire alors : ?????

SI VOUS NE FAITES PAS PARTIE DE LA SOLUTION, 
VOUS FAITES PARTIE DU PROBLÈME

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Prenez vos responsabilités :

1) Devenez végétarien ou encore mieux un LOVOS (lifestyle of Voluntary Simplicity) 
2) Boycottez toutes les productions alimentaires industrielles qui n’ont pour but que le profit.
Comment les reconnaitre ? Facile, c’est celles qui nous inondent de publicité pour vendre coûte que coûte leurs cochonneries chimiques qui nous intoxiquent. (la marque au bœuf rouge consacre le tiers de son chiffre d’affaire au sponsoring)
1) Privilégiez en priorité les productions familiales, régionales et artisanales.
2) Achetez, exigez et consommez uniquement des aliments biologiques contrôlés.
3) Ne participez plus aux campagnes de protection de l’environnement (tri des déchets — économie d’eau — mini-énergie — CO2 — pollution) C’est un leurre politique, c’est juste pour nous faire porter la responsabilité, à nous le peuple, de leur incapacité à contrôler et à freiner les dérives destructrices environnementales des grands groupes industriels. Aucun effet réel tant que les gouvernements, les scientifiques, l’industrie et les agriculteurs n’y participeront pas à 100 %. La plupart de ces déchets ne sont pas recyclés, ni même détruits, mais simplement stockés ou cachés en attendant de trouver une solution, ou simplement rejetés en mer. (voir les déchets radioactifs, les résidus chimiques et pétroliers, etc.)
4) Diminuez ou supprimez votre consommation de médicaments de synthèse. Priorité à la prévention, à l’homéopathie à la phytothérapie et aux médecines douces naturelles.



5) Pratiquez des loisirs et des activités physiques douces non polluantes. 
Do-in —Chi-gong —Yoga —Tai-chi —Marche —Nage —Méditation : qui ne participe pas au profit, qui n’a pas de rentabilité, qui ne nécessite pas d’appareils coûteux et destructeurs d’environnement, comme : (Rallye —F1 —Moto-cross —Ski —Voyages touristiques —Croisières — Chasse —Safaris photos touristiques , etc.)

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Gérard vénère

PROCHAIN ARTICLE : 

Longévité , le scénario du pire.
Vivre bien, le plus longtemps possible. 




jeudi 26 juillet 2018

AH NON…PAS ÇA !

AH NON…PAS ÇA !


CE LIVRE EST SUR AMAZON AU FORMAT KINDLE


Quoi… pas ça ? 

Dit-moi Blaise, tu veux dire quoi avec ce  Non pas ça !“.
Justement ce livre est entièrement consacré à répondre à cette question.
“ Non pas ça“, s’adresse en priorité à tout ceux qui…un jour… deviendront vieux. C’est à dire nous tous…enfin presque!

Non pas ça“, c’est pas finir comme ça…




– Affligé par toutes ces terribles maladies attribuées à la vieillesse.

Maladies neuro-dégénératives :Alzheimer, Parkinson, Sclérose en plaques, Démence, etc.

Maladies XYZ : AVC, cancer, gangrène, nécrose, maladies cardio-vasculaire,etc.

Passer tes dernières années de vie à faire joujou dans une crèche avec des personnes retombées en enfance.

Pour terminer sa vie dans une unité de soins palliatif qui essaie de te maintenir en vie envers et contre tout et souvent  contre ta propre volonté.

Eh ben voilà, c’est réglé en 12 points.

Tout est fait, pour normaliser et rendre, non pas acceptable, mais inévitable, cette procédure qui semble bénéfique pour tout les peuples de la terre.








Tenez… votre médecine ! mettez-la où je pense dans le trou du c… à la place du thermomètre.



      


Oui… je sais, c’est violent, mais être intoxiqué par une chimiothérapie, brulé par des rayons, disséqué, découpé, drogué et au final mourir quand même, c’est criminel. Oui… je sais nous allons tous mourir un jour, mais je préfère la manière douce, que je préconise dans ce manuel pour les « Nonpaça ».

Je m’arrache les cheveux…pour vous, pour nous, pour les prochains, qui n’ont pas encore franchi la ligne fatidique qui vous rendra inutile et invisible.


Ce livre est un violent réquisitoire contre un système qui tient comme acquis que nous finirons tous, — délabré, sénile, croulant — et qui a mis en place une stratégie qui se dit sociale supervisée par les puissants lobbys des multinationales destinés à planifier par tous les moyens l’imminente invasion de vieillards indigents improductifs.

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Ma prochaine vie... si je reviens, je commence par la fin par Woody Allen.  


« On devrait vivre la vie à l’envers 
Tu commences par mourir. 



Ça élimine ce traumatisme qui nous suit toute la vie. 
Après, tu te réveilles dans une maison de retraite, en allant mieux de jour en jour. 
Alors, on te met dehors sous prétexte de bonne santé et tu commences par toucher ta retraite. 
Ensuite, pour ton premier jour de travail, on te fait cadeau d’une montre en or et tu as un beau salaire. 
Tu travailles quarante ans jusqu’à ce que tu sois suffisamment jeune pour profiter de la fin de ta vie active. 
Tu vas de fête en fête, tu bois, tu vis plein d’histoires d’amour ! 
Tu n’as pas de problèmes graves. Tu te prépares à faire des études universitaires. 
Puis, c’est le collège. Tu t’éclates avec tes copains, sans affronter les obligations, jusqu’à devenir bébé. 
Les neuf derniers mois, tu les passes flottant dans l’eau vitale, tranquille, avec chauffage central, room service, etc …

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Je n’ai pas découvert la formule magique qui permet cette inversion illusoire, par contre à l’aube de mes 85 ans, je peux vous parler de ce que je connais, les bébés (5 avec moi), les papys (moi et tous les autres). La vieillesse ; des vieux et des vieilles de toutes les catégories, des actifs, des créatifs, des sportifs, des dépressifs, des agressifs, des poussifs, etc. donc j’en parle.
De notre conception à notre mort, la vie est conçue comme un chemin d’initiation, un cycle d’expériences successives. La roue tourne sans cesse, elle se déplace dans le temps et dans l’espace après chaque tour, elle revient à son point de départ. Chaque instant, chaque jour, chaque livre, chaque rencontre sont un nouveau début. Chaque moment est un renouveau. La vie ne commence à faire mal, très mal, très douloureuse, que lorsque nous ne nous laissons pas porter par son courant.
Retenir le flux de l’existence, c’est oublier que la vie est l’art de la métamorphose. La personne que vous avez devant vous a déjà enterré un enfant, l'enfant qu'elle a été, un enfant joyeux qui chantait, jouait, dansait, pleurait ; j’ai enterré aussi un adolescent, un jeune père. J’ai enterré un homme mûr. Et j’enterrerai bientôt le vieillard qui est en moi ; puis le très vieil homme ; puis, le mort qui fera le passage vers l’autre rive. 
Ainsi, chaque fois que j’ai quitté un espace, je suis entré dans un autre. 
Ce n’est pas facile. C’est dur de quitter le pays de l’enfance ; c’est dur de quitter le pays de la jeunesse ; c’est dur de quitter l’épanouissement de l’homme adulte et encore plus difficile de mettre un point final au dernier chapitre du grand livre de sa vie.
D’un pays à l’autre, d’un espace à l’autre, il y a le passage par la mort et une résurrection dans l’inconnu. Je quitte ce que je connaissais et je ne sais pas où je vais. Je ne sais pas où j’entre. Mais, puisque plusieurs fois déjà j’ai fait l’expérience qu’en quittant un « pays » j’entrais dans un autre d’une égale richesse sinon d’une plus grande richesse, pourquoi donc hésiterais-je devant la vieillesse, devant ma mort ?
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N’ATTENDEZ PAS

Je me propose dans cet ouvrage, d’argumenter sérieusement mes objections sur ces pratiques d’exclusion et d’élimination des personnes âgées devenue inutiles, mise en place par notre société capitaliste médico-scientifique.
Avant d’aller plus loin il faut que vous sachiez qui je suis, pour avoir l’audace de remettre en cause la fin de vie de 10 milliards d’individus.

Mise en garde :

À toutes les personnes hermétiques, cartésiennes, matérialistes, scientifiques, émotives, passives, peureuses, malheureuses et sans foi – soit environ 95 % de la population des pays occidentaux – ces lignes ne vous sont pas destinées ni recommandées, risque d'étouffement, de suffocation, d'apoplexie, dont nous sommes totalement responsables.


Je vous le dévoile intégralement dans les pages suivantes…J’ai 83 ans, et 45 ans que j’étudie, que j’applique et enseigne la médecine traditionnelle chinoise et japonaise. J’ai fait connaissance de cette médecine naturelle, au plus haut de ma réussite professionnelle et au plus profond du désespoir. Marie mon épouse et mère de mes deux filles de 10 et 11 ans, venait d’être terrassée brutalement à l’âge de 36 ans par un cancer généralisé, après avoir été disséquée par des apprentis sorciers aveugles sans état d’âme.


Euthanasie passive ou active ?
Au soir de ce 25 décembre 1968, je suis à son chevet dans une chambre isolée de l’hôpital de Genève. Totalement inconsciente depuis plus d’une semaine, étendue, immobile, le visage cireux, relié aux nombreux tuyaux qui la maintiennent prisonnière, sur ce lit de souffrance, donnant l’illusion d’un souffle de vie arrivé depuis longtemps à son terme. 
En ce jour de Noël, comme chaque soir depuis de nombreux jours, je viens veiller près de ce corps inerte, dans un silence pesant, troublé uniquement par le flux régulier du respirateur.
La soirée est déjà bien avancée, je m’apprête à partir, plus désespéré que jamais devant mon inutilité, lorsque la porte s’ouvre, l’interne de garde, passe la tête en disant d’une voix endormie " tout va bien ici ! ". Brutalement je suis envahi par une poussée d’adrénaline, dans un furieux sentiment d’indignation, je réponds calmement, OUI, OUI… attendez-moi dans le couloir, j’ai deux mots à vous dire. Je me lève d’un seul coup, traverse la chambre, pousse le toubib dans le couloir et le saisis par le col de sa blouse blanche, et tout en le secouant, je lui hurle au visage :
– Vous avez l’intention de la laisser "comme ça "encore longtemps, vous savez bien que c’est finiiiiii…"
Et là, stupéfait, j’entends "l’interne de garde ce soir de Noël" me répondre calmement… Mais monsieur, si vous m’exprimez clairement votre décision de faire stopper le soutien médical vital indispensable pour maintenir Madame W… en vie, je peux le faire immédiatement.
– Là… abasourdi, par ce que je viens d’entendre, je le lâche. 
– Quoi… qu’est-ce que vous dites ! 
– Écoutez, je n’ai as le droit de prendre cette décision de mon propre chef, mais si vous me le demandez, dans ces circonstances, je peux prendre la responsabilité de la débrancher.
Je n’hésite pas une seconde.
– Faites-le, tout de suite.
– D’accord, mais ne restez pas là, allez dans mon bureau, je viendrai vous chercher quand tout sera fini.
1/2 heure plus tard, le jeune interne est de retour.
– C’est fait, vous pouvez retourner dans la chambre dans laquelle repose votre femme. 
Là un choc m’attend… Marie est là, étendue, un petit bouquet de fleurs entre ces mains croisées sur sa poitrine. Son visage détendu reflète une sérénité indescriptible.
Tous les instruments de torture ont disparu, le lit a été fait, avec des draps d’un blanc immaculé. C’est terminé, le temps suspendu un instant s’est remis en marche, il est minuit, en ce soir de Noël 1968. Je vais rester auprès d’elle pour la veiller jusqu’au matin, puis complètement sonné pas les évènements de la nuit, je rentre chez moi, une boule dans le ventre qui mettra plusieurs mois pour disparaitre.
C’est durant cette nuit, anéanti, scandalisé et révolté, que j’ai pris la décision irrévocable d’abandonner le système que cette société me propose et la voie toute tracée qui m’était destinée, et surtout, de renoncer à cette médecine symptomatique destructrice dont j’ai pu constater l’hypocrisie et les terribles limites.



"Plus jamais ça".
OUI… oui, plus jamais ça, renoncer, changer, mais par quoi remplacer ? 
– Je n’en avais pas la moindre idée.
Quoi qu’il en soit, depuis cette tragique nuit de Noël, "je renonce". J’ai vendu mes meubles, abandonné mon appartement, et me suis acheté un mobile home que j’ai installé dans un camping sauvage à quelques kilomètres du centre de Genève, au bord de l’Arve, (une rivière boueuse issue du Massif du Mont-Blanc qui traverse la ville et se jette dans le Rhône au lieu dit "la Jonction".)
Un an plus tard, je m’efforce de revenir à l’état d’homme. Je ne sais pas vraiment comment m’y prendre, je cherche, je crie… pourquoi ! ; tout allait si bien... pour moi.
J’ai repris mes deux filles, qui étaient en pension depuis le début de la maladie de leur mère, j’ai acheté une seconde caravane pour elle, et nous nous débrouillons tant bien que mal, plutôt mal en ce qui concerne la cuisine.
Pour téléphoner, il faut se rendre à la cabine téléphonique la plus proche. Eh oui, à cette époque, le téléphone portable n’était pas né, et n’avait pas encore envahi la planète.
C’est donc en allant téléphoner à cette cabine, qu’un jour je découvre un petit livre vert, posé sur la tablette des anciens bottins téléphoniques papier, abandonné ou oublié là par le précédent utilisateur. Merci inconnu. 
Je ne le sais pas encore, mais à cet instant ma vie vient de basculer et va bientôt connaitre de profonds changements. 
Intrigué, je l’ouvre machinalement, feuillète quelques pages, qui me semblent totalement incompréhensibles sur le moment, l’auteur un japonais du nom d’ Ohsawa parle du Zen, de macrobiotique, et de cuisine yin-yang.
 Sur la première page, dans l’avant-propos, je lis :
 LES CHEMINS DU BONHEUR
Le bonheur, qui est le but de chacun dans ce monde, a reçu des Sages de l’Orient il y a quelques milliers d’années une définition qui me parait encore grandement valable.
D’après eux, l’homme heureux est celui :
1 — qui a une vie saine, longue et qui s’intéresse à tout ;
2 — qui n’a pas de soucis d’argent ;
3 — qui sait instinctivement éviter les accidents et les difficultés entrainant la mort prématurée ;
4 — qui comprend que l’univers est ordonné à tous les degrés ;
5 — qui n’a pas le désir de briller au premier rang, ce qui provoque la chute au dernier, mais recherche le dernier, afin d’être mis pour toujours au premier.

La philosophie orientale enseigne le moyen d’atteindre ce bonheur sur tous les plans : individuel, familial et social.
Là je suis bien parti pour gagner le trophée de l’homme le plus malheureux en 5 points.
Encore quelques pages, l’auteur parle de santé et de paix. Des sept conditions de la santé et du bonheur. De yin et de yang. etc. Toutes choses incompréhensibles pour moi.
Eurêka…je crois que j’ai enfin trouvé comment remplacer la médecine allopathique moderne que j’ai décidé de rejeter après la mort de Marie.
C’est depuis ce jour que je me suis mis en quête de ces médecines orientales totalement inconnues et ignorées par nos sommités médicales. 

1970 - 2015 : 45 ans, à la vitesse de la vie qui passe. La médecine orientale m’a durablement et profondément transformé, elle m’a permis de découvrir la Voie qui mène à la véritable santé, à la liberté et au bonheur.
Comme vous pouvez le voir et le sentir... hum... hum, le monde a changé depuis ces cinquante dernières années, surtout dans les villes, alors toutes ces années passées dans les zones urbaines ça suffit, nous partons à la campagne respirer l’air pur avec ce qui me reste de poumons après 50 années de clope et de gaz d’échappement sans catalyseur, mais en ayant mangé diététique et biologique quand même.
L’époque actuelle est extraordinaire, dangereuse et aléatoire. Installés à l’écart de l’agitation du monde, sans plus aucune obligation, débarrassé des lancinantes questions d’argent, une petite retraite suffit à des petits besoins, illusions ou rêves de jeunesse envolés, retraite bien méritée, entrée dans le 3e âge, petit passage en EMS et sortie définitive dans le 4e — Vive la vie !
Oui, c’est comme ça que cela se passe — quand tout va bien — les fins de vie dans nos sociétés avancées.
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L’imposture de la médecine allopathique.



Paradoxalement à travers une complexité apparente 3 termes caractérisent la médecine moderne : 
symptomatique, réductionniste, simpliste.

Symptomatique :

Elle ne recherche pas la véritable origine de la maladie, la relation de cause à effet. La médecine allopathique s’intéresse en priorité à faire disparaître les symptômes apparents de la maladie, et cela quel que soit le prix à payer ; en souffrance, en affaiblissement de l’énergie vitale et en argent. 

Réductionniste :

Le réductionnisme ramène la complexité du vivant à de simples interactions physico-chimiques et le développement des maladies, à un problème inconnu ou génétique.

Simpliste : 

Elle ne s’occupe pas des effets à long terme des médicaments et de leurs interactions toxiques.

Elle considère l’homme comme une entité indépendante, sans interférence avec son environnement.

Elle n’intervient jamais sur le mode de vie des malades, principale source de la majorité des maladies, en particulier l’alimentation, l’alcool, le manque de sommeil, le stress.

Malgré une réalité beaucoup plus restreinte et de loin moins efficace que ce qu’on nous laisse croire, cette médecine n’a jamais été remise en question depuis plusieurs siècles.
Un puissant lobby pharmaco-médical veille et a réussi au cours du temps, à cadenasser totalement le système : aucune critique, aucune remise en question, malgré des coûts exorbitants, et une impuissance manifeste à éradiquer la plupart des maladies.
Mais le plus grave, c’est que ce système quasi totalitaire, ne supporte pas la concurrence d’autres méthodes plus holistiques, même si elles ont fait leurs preuves depuis longtemps — au cas où elles pourraient être plus efficaces et moins coûteuses —. 
Tout est bon pour conserver une hégémonie exclusive et profitable de la plus puissante organisation économique mondiale, sur la communauté humaine la plus nombreuse et la plus dépendante, celle des malades : 
Désinformation – Manipulations – Mauvaise foi – Statistiques erronées – Peur – Exclusivisme – Lobbysme – et même escroquerie à grande échelle, etc.
50 ans de recherches ruineuses sur le cancer, sur la mucoviscidose, sur la tuberculose et même sur la banale grippe ou le simple rhume, n’ont pas permis d’entrevoir le moindre signe d’une véritable guérison de ces maladies. C’est toujours un problème d’argent ou d’ignorance fondamentale.
Les appels de fonds mensuels, et autres téléthons annuels, sur fond de chantage – donner vos sous et nous vaincrons toutes les maladies qui s’acharnent sur vous, – n’ont servi jusque-là qu’à décrypter le génome humain, pour découvrir que les soi-disant responsables de ces multiples dérèglements mortels, sont “ les fameux gènes”, et lorsque ce n’est pas génétique, c’est viral, les virus. C’est à mourir de rire, oh… Excusez-moi.
Mais pourquoi ces gènes qui se sont transmis depuis des centaines de générations s’altèrent-ils subitement, et comment ces gènes dégradés peuvent-ils devenir héréditaires ? Silence pesant dans l’assemblée des scientifiques.
Et les virus, si performants dans leur pouvoir d’adaptation — mais la plupart du temps dormant — pourquoi deviennent-ils subitement si virulents ? Pas de réponse des chercheurs.
Bravo la confrérie des médecins, c’est ce qui s’appelle botter en touche, plus de responsables, ni parmi le corps médical, ni parmi les malades du corps. Tout le monde est excusé puisque ce sont les gènes et les virus, les seuls et uniques responsables. En attendant la proportion des personnes atteintes de maladies graves et de la morbidité qui y est liée, progresse d’une manière exponentielle ; et ne parlons pas des coûts et des primes d’assurance, ce n’est pas le sujet, mais quelle meilleure preuve d’incompétence.
La seule et unique raison qui permet à cette situation de se perpétuer sans une révolte générale, c’est la peur, peur de souffrir, peur de mourir et en plus il est bien commode de se décharger de ses propres responsabilités et de ses angoisses sur le puissant monolithe technique médical qui vous prend en charge jusqu’à la FIN. Enfin prend en charge vos organes et votre corps biologique, — mais pas l’homme en tant qu’être humain, faut pas trop en demander.
Mais il y a quand même une justice paradoxale : les protagonistes à tous les niveaux que ce soit, de cette médecine autocratique, depuis la modeste infirmière au PDG des multinationales pharmaceutiques, personnes n’échappent à terme, aux griffes mortelles de la MALADIE.
Allons cette médecine palliative réductrice a encore de beau jour devant elle, à moins que ce soit elle qui finisse par faire peur ou qu’elle ne manque de matière première, c’est-à-dire : Nous. Non rassurez-vous, ce n’est pas que nous serons tous en bonne santé, c’est que nous serons tous morts, fin de l’espèce humaine.
Et l’opposé de cette médecine scientifique qui était destinée à nous guérir et à éradiquer les grandes pandémies mondiales.

C’est :
  • Aller à l’hôpital pour en ressortir plus malade qu’en y rentrant !
  • Détruire (ablations) au lieu de reconstruire !
  • Permettre l’euthanasie active ou passive au lieu de soigner pour guérir !
  • Maintenir en vie des personnes contre leur gré !
  • Créer des nouvelles maladies (nosocomiales) au lieu de les supprimer !
  • Supprimer une maladie pour la remplacer par une plus virulente (maladies iatrogènes) !
  • Affaiblir les systèmes immunitaires au lieu de les renforcer ! — Et en parallèle, renforcer la résistance des bactéries et des virus par les vaccins.!
  • Mutiler un bien portant (greffe) pour prolonger la vie d’un autre !
  • Prélever des organes sur une personne saine qui vient de mourir, pour les greffer sur un malade qui ne s’est jamais préoccupée de sa santé. 
  • C’est également :
  • Avoir développé un modèle totalitaire de médecine : – chère — élitiste — technico-scientifique, spécialisée, incompréhensible, etc.
  • Rendre cette médecine inaccessible à une grande partie de l’humanité !
  • Interdire, détruire ou ridiculiser toutes les médecines différentes : coutumières, familiales, chamaniques, énergétiques, holistiques, etc.
À l’opposé de cette médecine, nous trouvons bien entendu une médecine globale, holistique préventive et humanitaire : la médecine taoïste macrobiotique.
Le plus grand progrès pour l’humanité et la plus grande efficacité pour les malades au cours de ce 21ème siècle, serait d’associer étroitement ces deux médecines, qui se complètent parfaitement, avec comme unique but, le bien-être des malades et non comme c’est le cas actuellement de donner la priorité à un modèle économique, où le malade n´est plus qu’un produit rentable dans la colonne profit des gestionnaires de soins.
C’est pour cette raison que nous militons Florence et moi depuis plus de 40 ans, et que nous avons développé une structure de médecine alternative et préventive.
Pour que ce rêve ne reste pas une utopie… pour que cette médecine plus humaine ainsi que toutes les méthodes de soins parallèles deviennent une alternative de vie pour tous et non pour quelques Bo-Bo privilégiés ou pour quelques richissimes personnages ayant abusé des plaisirs de ce monde.




Pour que l’humanité ne disparaisse pas, engloutie sous une montagne de détritus et asphyxiée par la pollution.




Gérard Wenker - juillet 2018