Vivre bien, le plus longtemps possible.
C’est important, mais il est tout aussi important de s’interroger sur les conséquences collectives de la longévité. C’est un sujet essentiel. Peu de gens osent l’aborder, car il fait peur.
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Li Ching Yuen, un chinois aurait passé 256 ans sur la terre des hommes. Il serait né en 1677 et mort en 1933. Avant de mourir, il a révélé les secrets de sa longévité. Vraiment incroyable quand on sait que l’espérance chez les occidentaux se situe entre 70 et 85 ans
Selon un article du New York Times paru en 1930, Wu Chung-chieh, professeur émérite de l’université de Chengdu, a découvert des manuscrits du gouvernement impérial chinois en date de 1827 qui félicitent Li Ching-Yuen pour son 150ème anniversaire et d’autres documents attestent qu’il a aussi été félicité pour son 200ème anniversaire en 1877.
Li Ching Yuen aurait commencé sa carrière d’herboriste à l’âge de 10 ans, où il a rassemblé des herbes des chaînes montagneuses et a appris à connaitre leur puissance en matière de longévité. Pendant près de 40 ans, il a survécu grâce à un régime d’herbes telles que le lingzhi, la baie de goji, le ginseng sauvage, l’il Shoo wu et le gotu kola ainsi que le vin de riz.
Selon les récits généralement reconnus et racontés dans sa province, Li a été en mesure de lire et d’écrire quand il était encore un enfant en bas âge, et à l’occasion de son dixième anniversaire il a voyagé en Kansu, Chansi, au Tibet, à Annam, dans l’empire Siam et la Mandchourie pour récolter des herbes.
En 1749, à l’âge de 71 ans, il rejoint les armées chinoises en tant que professeur d’arts martiaux.
Pendant ses cent premières années, il a poursuivi les recherches de sa profession. Puis il est passé à la vente d’herbes recueillies par d’autres personnes.
Wu Pei-fu, le guerrier qui est allé le voir pour connaitre tous ses secrets, voici la réponse du vieillard « Restez calmes dans votre cœur, asseyez-vous comme une tortue, marchez comme un pigeon et dormez comme un chien. »
Li maintient qu’une vie intérieure paisible combiné à des techniques de respirations étaient les secrets pour une longévité incroyable. Evidemment, son régime alimentaire a joué un rôle important. Mais c’est fascinant de voir qu’une vieille personne a pu vivre aussi longtemps sans ne jamais perdre la tête.
Li qui s’est marié 23 fois et engendré plus de 200 enfants disait être un personnage bien-aimé de sa communauté.
Sur son lit de mort, le vieil homme a déclaré « j’ai fait tout ce que je devais faire dans ce monde. »
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Bientôt 60 000 centenaires en France… si la Sécu ne fait pas faillite.
Or, il ne faut pas se voiler la face.
De plus en plus de personnes s’inquiètent que nous soyons trop nombreux sur cette terre. En particulier, il y aurait « trop de personnes âgées ». Selon l’Insee, la France compte 15 000 centenaires en 2016, elle en comptera 60 000 en 2060.
Cela à condition bien sûr qu’un système soit trouvé pour continuer à financer les besoins des personnes âgées.
Cependant, il ne faut pas se faire d’illusions.
Plus le temps va passer, plus la crise économique et financière va s’aggraver, plus le trou de la Sécu va se creuser, plus forte va devenir la pression sur les personnes âgées.
Personnellement, je n’exclus pas que les soins soient progressivement réduits pour les personnes les plus âgées et les plus malades.
Les médias préparent l’opinion à des restrictions contre les personnes âgées.
Restreindre l’accès au soin des personnes âgées, c’est déjà un « marronnier » dans la presse.
Ainsi en août 2012, le journal Le Monde titrait :
« Les personnes âgées dépendantes prennent trop de médicaments. »
En septembre 2013, le journal Le Figaro titrait :
« Les personnes âgées prennent trop de médicaments » (notez le glissement du sens, avec la suppression du mot « dépendantes »).
Le 22 octobre 2015, RTL annonçait :
« Attention, les personnes âgées prennent beaucoup trop de médicaments » (cette fois, le ton devient alarmiste).
Puis à nouveau cette année, le 9 mai 2016, dans le journal Le Monde :
« Trop de prescriptions inappropriées pour les personnes âgées ».
On est en train de prépare l’opinion publique.
Les prestations santé dramatiquement réduites
D’ici peu, les autorités nous expliqueront que, « pour leur bien » (c’est très important dans la tactique), il est nécessaire de restreindre la consommation de médicaments des personnes âgées.
Des consignes seront données aux médecins, d’abord sur la base du volontariat.
Puis, comme cela n’aura pas suffi, un membre du gouvernement annoncera qu’une politique « volontariste » va être lancée pour résoudre le problème.
« Volontariste » est ce terme bizarre employé quand, justement, une décision est imposée contre la volonté des gens.
On vous dira :
« Chère Madame (ou cher Monsieur), il existe un traitement efficace contre vos douleurs ou votre maladie. Malheureusement, vu le coût et vu votre âge, les soins ne sont plus pris en charge. »
Bien entendu, ces mesures seront justifiées par un appel à la « responsabilité » et à la « solidarité » des citoyens.
« Pousser les vieux vers la sortie »
Ce n’est pas pour rien que la presse publie régulièrement des articles dérivés d’un célèbre texte intitulé « Le coût des derniers mois » publié dans le magazine La Recherche en 1999 :
« L’âge entraîne une accélération de la consommation individuelle de soins. En outre, les pathologies traitées sont plus coûteuses. Si l’on exclut les personnes ne consommant pas de soins, la prise en charge annuelle moyenne par le régime général de l’assurance maladie des personnes entre 70 et 80ans est le triple de celle des 20-30 ans. Et l’écart s’accentue encore aux âges les plus élevés : les personnes de 80 ans et plus coûtent en moyenne deux fois plus cher au régime général qu’une personne de 60 à 69ans dans la même situation.»
Habituer la population à l’idée que « les vieux coûtent trop cher » est une étape essentielle de la stratégie.
Après avoir pris comme prétexte de combler le « trou de la Sécu », d’autres arguments du type « équilibrer le système des retraites » ou même « protéger l’environnement » seront utilisés pour « pousser les vieux vers la sortie ».
La solution pour éviter ce scénario du pire n’est pas évidente.
Elle passe certainement par un changement des rapports entre les jeunes et les personnes âgées dans la société. Les solidarités familiales sont appelées à reprendre le rôle prépondérant qu’elles ont toujours eu. Les jeunes s’occuperont des anciens.
Réciproquement, les anciens doivent, dès aujourd’hui, se préoccuper de la capacité des jeunes à les assumer, le moment venu.
Tout aussi important, ou plus important encore, chacun doit reprendre le contrôle de sa propre santé. Cesser de s’en remettre à un système de « prise en charge » qui, un jour ou l’autre, peut arrêter de fonctionner, ou devenir fou.
À ce moment-là, les personnes qui auront pris des précautions, qui auront pris soin de leur santé, qui sauront se passer au maximum de médicaments chimiques et de soins médicaux compliqués, seront les mieux loties.
Ce sont celles qui sauront se servir des produits naturels, des plantes, des aliments qui soignent, des produits simples comme les vitamines, les cataplasmes, les recettes de grand-mère naturels et peu coûteux…
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Franchement vous voyez des signes de décroissance, d’une quelconque amélioration ?
- La suppression des budgets militaires ?
- Un ralentissement de la destruction de l’environnement ?
- Une protection mondiale de la biodiversité ?
- L’interdiction de la chasse et de la pêche de loisir ?
- Une diminution de la pollution de l’eau, des mers, de l’air, des terres ?
- Une amélioration de la santé, l’éradication des maladies ?
- La disparition de la famine ?
- L’installation d’une justice sociale ?
RIEN, bien au contraire, la machine s’emballe, nourrie à coups de milliards de dollars, qu’elle engloutit sans plus rien donner en échange.
Ah… si ! Un immense nuage de fumée qui enveloppe toute la terre et embrume notre cerveau.
La population mondiale atteindra bientôt 10 milliards d’individus, cette masse énorme d’êtres humains n’intéresse le système capitaliste et sa «Machine Broyeuse de Vies» qu’en tant que consommateur-payeur. Mais la puissante «Machine» a un talon d’Achille, elle doit obligatoirement — sous peine de disparaitre — sans cesse, croître, grossir, se développer. En termes économiques, générer du profit, des dividendes, faire du chiffre, du bénéfice, du cash flow, etc. Le moindre recul, une stagnation ou un simple ralentissement, la plus petite crise économique et c’est l’affolement chez les Capitaines d’Industrie — c’est comme ça qu’on les appelle — ceux qui sont aux commandes de la Machine.
— Alarme… vite, vite, la Machine doit manger en permanence, toujours, sans interruption, sinon la Machine va mourir. Elle va entrer en dépression, faire faillite, récession, Grande Crise.
— Ah… oh… hiiiii….
— Trouvez des nouveaux marchés rapidement « Non de D….. ».
— Des espaces, si possible vierges et pas chers.
— Trouvez de la main-d’œuvre nombreuse et pas chère.
— Oú… ? N’importe où, dans le désert, dans les forêts tropicales, au fond de l’océan, au pôle Nord ou Sud…
— Remuez-vous les fesses… sinon c’est fini, plus de parachutes dorés, plus de stock-options et même plus de salaires.
— Quoi ? Ils sont protégés par les lois de protection de l’environnement… c’est quoi ce truc, les lois c’est nous qui les concoctons et qui les imposons… non ?
— Oui, mais il y a le peuple qui vote, dans les démocraties, il faut bien leur donner quelques miettes de temps en temps, sinon c’est la révolution, et la révolution c’n’est pas bon pour nous, pour notre image, pour les affaires.
— Bon, alors allez en Chine, en Inde, là il y a du monde et de l’espace.
— Oui chef… et après ?
— Comment après… après quoi ? Après la Chine, après l’Inde. Il restera encore l’Afrique, bon il faudra investir dans les infrastructures, mais là, pas de démocratie pour nous mettre des bâtons dans les roues, il suffit d’arroser à bon escient les bonnes personnes, au bon endroit et l’affaire est dans le sac. Avec ces territoires on va pouvoir nourrir la «Machine» encore un bout de temps. Après on s’en fout, nous, nous ne serons plus là.
Si seulement 20 % des hommes et des femmes de la planète prenaient conscience des manipulations sordides dont ils sont l’objet, ils pourraient enclencher une décroissance qui serait rapidement fatale à «La Machine » qui s’effondrerait comme une baudruche vide.
Ensuite, les individus qui n’auront pas été décérébrés — mais en restera-t-il encore ? – pourront reconstruire un monde nouveau, en évitant les erreurs du passé.
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Après avoir vu, au cours de ma vie au long cours, tomber autour de moi — comme sur un champ de bataille — d’innombrables êtres aimés, proches parents, amis, collègues, voisins ; tous, victimes de l’arrogance, de la suffisance et parfois de l’incompétence de la médecine moderne, et de la confiance sans faille mise en elle.
Doté d’un esprit critique et rebelle, j’ai découvert l’impuissance et les limites de la médecine scientifique à la mort de mon épouse, décédée à 35 ans d’un cancer, après avoir été littéralement disséquée par une horde de vampires en blouse verte.
❤️🧡💛💚💙♥️😍😇 |
Florence ma femme actuel vient de mourir brutalement (en 3 heures) d’une rupture de l’aorte abdominal. 2 cas en 10 ans dans l’hôpital régional ou elle a été amenée au urgence.
2 heures pour diagnostiquer le problème, c’était déjà trop tard.
R.I.P.
Voir sur mon blog :
Bon… qu’il y ait des échecs et des limites à cette médecine symptomatique, je l’admets volontiers, mais ce qui est insoutenable, c’est le totalitarisme exclusiviste du corps médical. Jamais aucune remise en question, un esprit de clan qui cultive le secret, avec ses codes, son langage, sa littérature, qui n’admet pas les échecs ni les erreurs de diagnostic. La grande muette c’est plus l’armée, c’est le corps médical et ses nombreux sous-traitants.
Toi, pauvre pékin inculte, malade et tremblant de peur, assis devant un de ces Professeurs Sommités, attendant l’ordonnance de la sentence ; Cancer, Sida, Alhzeimer, Parkinson… et le mode de torture ; opération, ponction, greffe, rayons, chimio, dialyse, etc. — ne vous inquiétez pas, gardez un bon moral, tout va bien se passer, dit-il en vous tapant sur l’épaule, de toute façon il n’y a pas d’autre alternative, au revoir. Merci docteur, merci la médecine, merci la science, ouf…me voilà rassuré, je me couche dans mon moelleux lit blanc électrique, tranquillisé ; je suis en de bonnes mains.
Immédiatement la "Machinal" (contraction de machine et hôpital) se met en marche. Happé brutalement par l’organisation tentaculaire de la pieuvre médicale, malaxé, broyé, trituré, analysé et habillé-blanchi. Exclu du monde des biens portants, ton nom n’est plus — Dupont, Martin ou Schmit mais le lympho-sarcome de la 603, ou le cas intéressant de la 306. Transféré, dans la Ville des "atteints", ta nouvelle adresse c’est : Hôpital Pitié-Espérance — service d’oncologie - No. 603 — pseudo : "Patient 1024".
Parfois, si t’es né sous une bonne étoile et avec une solide constitution, ta maladie va être tuée avant toi et le miracle s’accomplit, tu t’en sors, certes moribond et affaibli, mais toujours vivant. Immédiatement t’es rejeté hors les murs de l’antre de la pieuvre — comme un vulgaire morceau de bidoche inconsommable. Pour mieux t’attendrir, on te file une dizaine de boîtes de bonbons colorés à consommer régulièrement, au cas où ton corps se rebellerait et voudrait en faire à sa tête et prendre les commandes en cas de rechute.
Ça c’est le scénario pour les 95 % des "croyants". Ne mettre que le petit doigt dans l’engrenage de cette machinerie bien huilée, et hop… tout le corps y passe, y compris ta tête et ce qu’il y a dedans. Tu ne le sais pas encore, mais en plus, ce que tu as perdu de plus cher, c’est la liberté sur ta vie et sur ta mort. Perdre son âme pour sauver son corps, c’est le prix à payer pour exister encore un bout de temps.
Pour les autres, les rebelles, les aventuriers, les allumés, les éclairés, les ressuscités, les miraculés – Il existe une autre voie, une autre médecine, une médecine sans médecins !!!, enfin, presque, puisque chacun est son propre médecin.
Menteur, charlatan, imposteur, démagogue — je vous entends hurler, anathématiser, condamner, vous tous, les professionnels de la restauration, les salariés des services de maintenance du vivant :
Sommités, Grands Professeurs, Médecins, Docteurs : spécialistes en spécialités - anesthésistes du cerveau - radiologues qui irradient — IRMistes - généralistes — mettons à part les chirurgiens, tant qu’il y aura des guerres, des attentats, des voitures et des trains qui se crashent, ils seront nécessaires pour le rafistolage des corps déchiquetés par la bestialité humaine.
Mais n’oublions pas les principaux pourvoyeurs-fournisseurs de la "Machinal" ; les "Pharma" en connivence avec les industriels de l’agro-alimentaire, accompagnés de leurs petits soldats aux ordres ; chimistes, biologistes, généticiens, chercheurs ; tous dans le même sac. Pour eux, un seul credo, le fric et la gloire, à n’importe quel prix. Pour cela, une formule simple, rendre les gens malades, de plus en plus malades, mais attention… sans les tuer immédiatement, ainsi impossible de faire le lien, t’es foutu en 30 ou 40 ans, pas de preuves, pas de liens scientifiques avérés, selon la formule consacrée, le crime parfait. Tous y trouvent leur compte et entassent leurs milliards sur des milliards de morts, d’insupportables souffrances, des montagnes de désespoirs.
Absout, non, quand même pas – Une justice tout de même, tout ce beau monde est sur le même bateau, et n’échappe pas à la sinistre faucheuse, qu’ils ont mis en place. Toutes ces maladies sournoises, répandues par leurs soins, ils finissent aussi par en mourir… ouf. Dieu pardonne-leur si tu veux, ils ne savaient peut-être pas ce qu’ils faisaient, mais moi je ne leur pardonnerai jamais, car je suis certain qu’ils le savaient. Tous complices, tous coupables.
La preuve… !! une seule suffira ; pourquoi ne cherchent-ils jamais la véritable cause des maladies, la cause ultime, celle qui mettrait fin à la plupart d’entre elles, celle qui redonnerait l’espoir d’une vie meilleure, sans cette épée de Damoclès en forme de crabe suspendue sur chacun d’entre nous.
En… mettons 2 à 300 ans, mais particulièrement ces 50 dernières années pas l’ombre d’une piste, pas la moindre idée de génie, malgré les milliards consacrés à la recherche, au contraire, des nouvelles maladies surgissent et parfois resurgissent à tout moment. Hélas, il n’y a aucune chance qu’ils la trouvent dans leurs laboratoires, ni dans les binoculaires des super-microscopes, encore moins dans les gènes, pourtant bien pratiques comme boucs émissaires, — c’est génétique et héréditaire — point à la ligne. Ah oui !! et pourquoi ces gènes s’altèrent-ils ? eux qui ont fait ce que nous sommes, eux qui viennent du fond des temps, eux qui sont à l’origine du vivant — mystère !!!! Pas tant que ça, tous les bio-généticiens le savent — il n’y a que deux choses capables de modifier les gènes : les radiations et les produits chimiques. Je vous laisse conclure.
Toutes professions confondues œuvrant dans le médical, le para-médical, la recherche, l’industrie alimentaire et l’agro-industrie, c’est plus de 500 millions de travailleurs hautement qualifiés, à travers le monde. Un système de santé global brassant des milliards de $.
Vous vous rendez compte si Jésus revenait et guérissait tous les malades ou si un génie découvrait la panacée universelle !! Ce qui en résulterait, c’est des millions de personnes au chômage et une terrible crise économique. Rassurez-vous… ILS ne laisseront jamais un tel prodige s’accomplir, ni aucune formule infaillible voir le jour. C’est toute la société industrielle moderne, construite par les scientifiques qui serait remise en cause.
Prochain article :
LE BIZNESS DE LA VIE ET DE LA MORT
N'attendez pas d'être vieux pour rester jeune
Gérard Wenker - Aout 2018
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