jeudi 26 juillet 2018

AH NON…PAS ÇA !

AH NON…PAS ÇA !


CE LIVRE EST SUR AMAZON AU FORMAT KINDLE


Quoi… pas ça ? 

Dit-moi Blaise, tu veux dire quoi avec ce  Non pas ça !“.
Justement ce livre est entièrement consacré à répondre à cette question.
“ Non pas ça“, s’adresse en priorité à tout ceux qui…un jour… deviendront vieux. C’est à dire nous tous…enfin presque!

Non pas ça“, c’est pas finir comme ça…




– Affligé par toutes ces terribles maladies attribuées à la vieillesse.

Maladies neuro-dégénératives :Alzheimer, Parkinson, Sclérose en plaques, Démence, etc.

Maladies XYZ : AVC, cancer, gangrène, nécrose, maladies cardio-vasculaire,etc.

Passer tes dernières années de vie à faire joujou dans une crèche avec des personnes retombées en enfance.

Pour terminer sa vie dans une unité de soins palliatif qui essaie de te maintenir en vie envers et contre tout et souvent  contre ta propre volonté.

Eh ben voilà, c’est réglé en 12 points.

Tout est fait, pour normaliser et rendre, non pas acceptable, mais inévitable, cette procédure qui semble bénéfique pour tout les peuples de la terre.








Tenez… votre médecine ! mettez-la où je pense dans le trou du c… à la place du thermomètre.



      


Oui… je sais, c’est violent, mais être intoxiqué par une chimiothérapie, brulé par des rayons, disséqué, découpé, drogué et au final mourir quand même, c’est criminel. Oui… je sais nous allons tous mourir un jour, mais je préfère la manière douce, que je préconise dans ce manuel pour les « Nonpaça ».

Je m’arrache les cheveux…pour vous, pour nous, pour les prochains, qui n’ont pas encore franchi la ligne fatidique qui vous rendra inutile et invisible.


Ce livre est un violent réquisitoire contre un système qui tient comme acquis que nous finirons tous, — délabré, sénile, croulant — et qui a mis en place une stratégie qui se dit sociale supervisée par les puissants lobbys des multinationales destinés à planifier par tous les moyens l’imminente invasion de vieillards indigents improductifs.

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Ma prochaine vie... si je reviens, je commence par la fin par Woody Allen.  


« On devrait vivre la vie à l’envers 
Tu commences par mourir. 



Ça élimine ce traumatisme qui nous suit toute la vie. 
Après, tu te réveilles dans une maison de retraite, en allant mieux de jour en jour. 
Alors, on te met dehors sous prétexte de bonne santé et tu commences par toucher ta retraite. 
Ensuite, pour ton premier jour de travail, on te fait cadeau d’une montre en or et tu as un beau salaire. 
Tu travailles quarante ans jusqu’à ce que tu sois suffisamment jeune pour profiter de la fin de ta vie active. 
Tu vas de fête en fête, tu bois, tu vis plein d’histoires d’amour ! 
Tu n’as pas de problèmes graves. Tu te prépares à faire des études universitaires. 
Puis, c’est le collège. Tu t’éclates avec tes copains, sans affronter les obligations, jusqu’à devenir bébé. 
Les neuf derniers mois, tu les passes flottant dans l’eau vitale, tranquille, avec chauffage central, room service, etc …

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Je n’ai pas découvert la formule magique qui permet cette inversion illusoire, par contre à l’aube de mes 85 ans, je peux vous parler de ce que je connais, les bébés (5 avec moi), les papys (moi et tous les autres). La vieillesse ; des vieux et des vieilles de toutes les catégories, des actifs, des créatifs, des sportifs, des dépressifs, des agressifs, des poussifs, etc. donc j’en parle.
De notre conception à notre mort, la vie est conçue comme un chemin d’initiation, un cycle d’expériences successives. La roue tourne sans cesse, elle se déplace dans le temps et dans l’espace après chaque tour, elle revient à son point de départ. Chaque instant, chaque jour, chaque livre, chaque rencontre sont un nouveau début. Chaque moment est un renouveau. La vie ne commence à faire mal, très mal, très douloureuse, que lorsque nous ne nous laissons pas porter par son courant.
Retenir le flux de l’existence, c’est oublier que la vie est l’art de la métamorphose. La personne que vous avez devant vous a déjà enterré un enfant, l'enfant qu'elle a été, un enfant joyeux qui chantait, jouait, dansait, pleurait ; j’ai enterré aussi un adolescent, un jeune père. J’ai enterré un homme mûr. Et j’enterrerai bientôt le vieillard qui est en moi ; puis le très vieil homme ; puis, le mort qui fera le passage vers l’autre rive. 
Ainsi, chaque fois que j’ai quitté un espace, je suis entré dans un autre. 
Ce n’est pas facile. C’est dur de quitter le pays de l’enfance ; c’est dur de quitter le pays de la jeunesse ; c’est dur de quitter l’épanouissement de l’homme adulte et encore plus difficile de mettre un point final au dernier chapitre du grand livre de sa vie.
D’un pays à l’autre, d’un espace à l’autre, il y a le passage par la mort et une résurrection dans l’inconnu. Je quitte ce que je connaissais et je ne sais pas où je vais. Je ne sais pas où j’entre. Mais, puisque plusieurs fois déjà j’ai fait l’expérience qu’en quittant un « pays » j’entrais dans un autre d’une égale richesse sinon d’une plus grande richesse, pourquoi donc hésiterais-je devant la vieillesse, devant ma mort ?
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N’ATTENDEZ PAS

Je me propose dans cet ouvrage, d’argumenter sérieusement mes objections sur ces pratiques d’exclusion et d’élimination des personnes âgées devenue inutiles, mise en place par notre société capitaliste médico-scientifique.
Avant d’aller plus loin il faut que vous sachiez qui je suis, pour avoir l’audace de remettre en cause la fin de vie de 10 milliards d’individus.

Mise en garde :

À toutes les personnes hermétiques, cartésiennes, matérialistes, scientifiques, émotives, passives, peureuses, malheureuses et sans foi – soit environ 95 % de la population des pays occidentaux – ces lignes ne vous sont pas destinées ni recommandées, risque d'étouffement, de suffocation, d'apoplexie, dont nous sommes totalement responsables.


Je vous le dévoile intégralement dans les pages suivantes…J’ai 83 ans, et 45 ans que j’étudie, que j’applique et enseigne la médecine traditionnelle chinoise et japonaise. J’ai fait connaissance de cette médecine naturelle, au plus haut de ma réussite professionnelle et au plus profond du désespoir. Marie mon épouse et mère de mes deux filles de 10 et 11 ans, venait d’être terrassée brutalement à l’âge de 36 ans par un cancer généralisé, après avoir été disséquée par des apprentis sorciers aveugles sans état d’âme.


Euthanasie passive ou active ?
Au soir de ce 25 décembre 1968, je suis à son chevet dans une chambre isolée de l’hôpital de Genève. Totalement inconsciente depuis plus d’une semaine, étendue, immobile, le visage cireux, relié aux nombreux tuyaux qui la maintiennent prisonnière, sur ce lit de souffrance, donnant l’illusion d’un souffle de vie arrivé depuis longtemps à son terme. 
En ce jour de Noël, comme chaque soir depuis de nombreux jours, je viens veiller près de ce corps inerte, dans un silence pesant, troublé uniquement par le flux régulier du respirateur.
La soirée est déjà bien avancée, je m’apprête à partir, plus désespéré que jamais devant mon inutilité, lorsque la porte s’ouvre, l’interne de garde, passe la tête en disant d’une voix endormie " tout va bien ici ! ". Brutalement je suis envahi par une poussée d’adrénaline, dans un furieux sentiment d’indignation, je réponds calmement, OUI, OUI… attendez-moi dans le couloir, j’ai deux mots à vous dire. Je me lève d’un seul coup, traverse la chambre, pousse le toubib dans le couloir et le saisis par le col de sa blouse blanche, et tout en le secouant, je lui hurle au visage :
– Vous avez l’intention de la laisser "comme ça "encore longtemps, vous savez bien que c’est finiiiiii…"
Et là, stupéfait, j’entends "l’interne de garde ce soir de Noël" me répondre calmement… Mais monsieur, si vous m’exprimez clairement votre décision de faire stopper le soutien médical vital indispensable pour maintenir Madame W… en vie, je peux le faire immédiatement.
– Là… abasourdi, par ce que je viens d’entendre, je le lâche. 
– Quoi… qu’est-ce que vous dites ! 
– Écoutez, je n’ai as le droit de prendre cette décision de mon propre chef, mais si vous me le demandez, dans ces circonstances, je peux prendre la responsabilité de la débrancher.
Je n’hésite pas une seconde.
– Faites-le, tout de suite.
– D’accord, mais ne restez pas là, allez dans mon bureau, je viendrai vous chercher quand tout sera fini.
1/2 heure plus tard, le jeune interne est de retour.
– C’est fait, vous pouvez retourner dans la chambre dans laquelle repose votre femme. 
Là un choc m’attend… Marie est là, étendue, un petit bouquet de fleurs entre ces mains croisées sur sa poitrine. Son visage détendu reflète une sérénité indescriptible.
Tous les instruments de torture ont disparu, le lit a été fait, avec des draps d’un blanc immaculé. C’est terminé, le temps suspendu un instant s’est remis en marche, il est minuit, en ce soir de Noël 1968. Je vais rester auprès d’elle pour la veiller jusqu’au matin, puis complètement sonné pas les évènements de la nuit, je rentre chez moi, une boule dans le ventre qui mettra plusieurs mois pour disparaitre.
C’est durant cette nuit, anéanti, scandalisé et révolté, que j’ai pris la décision irrévocable d’abandonner le système que cette société me propose et la voie toute tracée qui m’était destinée, et surtout, de renoncer à cette médecine symptomatique destructrice dont j’ai pu constater l’hypocrisie et les terribles limites.



"Plus jamais ça".
OUI… oui, plus jamais ça, renoncer, changer, mais par quoi remplacer ? 
– Je n’en avais pas la moindre idée.
Quoi qu’il en soit, depuis cette tragique nuit de Noël, "je renonce". J’ai vendu mes meubles, abandonné mon appartement, et me suis acheté un mobile home que j’ai installé dans un camping sauvage à quelques kilomètres du centre de Genève, au bord de l’Arve, (une rivière boueuse issue du Massif du Mont-Blanc qui traverse la ville et se jette dans le Rhône au lieu dit "la Jonction".)
Un an plus tard, je m’efforce de revenir à l’état d’homme. Je ne sais pas vraiment comment m’y prendre, je cherche, je crie… pourquoi ! ; tout allait si bien... pour moi.
J’ai repris mes deux filles, qui étaient en pension depuis le début de la maladie de leur mère, j’ai acheté une seconde caravane pour elle, et nous nous débrouillons tant bien que mal, plutôt mal en ce qui concerne la cuisine.
Pour téléphoner, il faut se rendre à la cabine téléphonique la plus proche. Eh oui, à cette époque, le téléphone portable n’était pas né, et n’avait pas encore envahi la planète.
C’est donc en allant téléphoner à cette cabine, qu’un jour je découvre un petit livre vert, posé sur la tablette des anciens bottins téléphoniques papier, abandonné ou oublié là par le précédent utilisateur. Merci inconnu. 
Je ne le sais pas encore, mais à cet instant ma vie vient de basculer et va bientôt connaitre de profonds changements. 
Intrigué, je l’ouvre machinalement, feuillète quelques pages, qui me semblent totalement incompréhensibles sur le moment, l’auteur un japonais du nom d’ Ohsawa parle du Zen, de macrobiotique, et de cuisine yin-yang.
 Sur la première page, dans l’avant-propos, je lis :
 LES CHEMINS DU BONHEUR
Le bonheur, qui est le but de chacun dans ce monde, a reçu des Sages de l’Orient il y a quelques milliers d’années une définition qui me parait encore grandement valable.
D’après eux, l’homme heureux est celui :
1 — qui a une vie saine, longue et qui s’intéresse à tout ;
2 — qui n’a pas de soucis d’argent ;
3 — qui sait instinctivement éviter les accidents et les difficultés entrainant la mort prématurée ;
4 — qui comprend que l’univers est ordonné à tous les degrés ;
5 — qui n’a pas le désir de briller au premier rang, ce qui provoque la chute au dernier, mais recherche le dernier, afin d’être mis pour toujours au premier.

La philosophie orientale enseigne le moyen d’atteindre ce bonheur sur tous les plans : individuel, familial et social.
Là je suis bien parti pour gagner le trophée de l’homme le plus malheureux en 5 points.
Encore quelques pages, l’auteur parle de santé et de paix. Des sept conditions de la santé et du bonheur. De yin et de yang. etc. Toutes choses incompréhensibles pour moi.
Eurêka…je crois que j’ai enfin trouvé comment remplacer la médecine allopathique moderne que j’ai décidé de rejeter après la mort de Marie.
C’est depuis ce jour que je me suis mis en quête de ces médecines orientales totalement inconnues et ignorées par nos sommités médicales. 

1970 - 2015 : 45 ans, à la vitesse de la vie qui passe. La médecine orientale m’a durablement et profondément transformé, elle m’a permis de découvrir la Voie qui mène à la véritable santé, à la liberté et au bonheur.
Comme vous pouvez le voir et le sentir... hum... hum, le monde a changé depuis ces cinquante dernières années, surtout dans les villes, alors toutes ces années passées dans les zones urbaines ça suffit, nous partons à la campagne respirer l’air pur avec ce qui me reste de poumons après 50 années de clope et de gaz d’échappement sans catalyseur, mais en ayant mangé diététique et biologique quand même.
L’époque actuelle est extraordinaire, dangereuse et aléatoire. Installés à l’écart de l’agitation du monde, sans plus aucune obligation, débarrassé des lancinantes questions d’argent, une petite retraite suffit à des petits besoins, illusions ou rêves de jeunesse envolés, retraite bien méritée, entrée dans le 3e âge, petit passage en EMS et sortie définitive dans le 4e — Vive la vie !
Oui, c’est comme ça que cela se passe — quand tout va bien — les fins de vie dans nos sociétés avancées.
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L’imposture de la médecine allopathique.



Paradoxalement à travers une complexité apparente 3 termes caractérisent la médecine moderne : 
symptomatique, réductionniste, simpliste.

Symptomatique :

Elle ne recherche pas la véritable origine de la maladie, la relation de cause à effet. La médecine allopathique s’intéresse en priorité à faire disparaître les symptômes apparents de la maladie, et cela quel que soit le prix à payer ; en souffrance, en affaiblissement de l’énergie vitale et en argent. 

Réductionniste :

Le réductionnisme ramène la complexité du vivant à de simples interactions physico-chimiques et le développement des maladies, à un problème inconnu ou génétique.

Simpliste : 

Elle ne s’occupe pas des effets à long terme des médicaments et de leurs interactions toxiques.

Elle considère l’homme comme une entité indépendante, sans interférence avec son environnement.

Elle n’intervient jamais sur le mode de vie des malades, principale source de la majorité des maladies, en particulier l’alimentation, l’alcool, le manque de sommeil, le stress.

Malgré une réalité beaucoup plus restreinte et de loin moins efficace que ce qu’on nous laisse croire, cette médecine n’a jamais été remise en question depuis plusieurs siècles.
Un puissant lobby pharmaco-médical veille et a réussi au cours du temps, à cadenasser totalement le système : aucune critique, aucune remise en question, malgré des coûts exorbitants, et une impuissance manifeste à éradiquer la plupart des maladies.
Mais le plus grave, c’est que ce système quasi totalitaire, ne supporte pas la concurrence d’autres méthodes plus holistiques, même si elles ont fait leurs preuves depuis longtemps — au cas où elles pourraient être plus efficaces et moins coûteuses —. 
Tout est bon pour conserver une hégémonie exclusive et profitable de la plus puissante organisation économique mondiale, sur la communauté humaine la plus nombreuse et la plus dépendante, celle des malades : 
Désinformation – Manipulations – Mauvaise foi – Statistiques erronées – Peur – Exclusivisme – Lobbysme – et même escroquerie à grande échelle, etc.
50 ans de recherches ruineuses sur le cancer, sur la mucoviscidose, sur la tuberculose et même sur la banale grippe ou le simple rhume, n’ont pas permis d’entrevoir le moindre signe d’une véritable guérison de ces maladies. C’est toujours un problème d’argent ou d’ignorance fondamentale.
Les appels de fonds mensuels, et autres téléthons annuels, sur fond de chantage – donner vos sous et nous vaincrons toutes les maladies qui s’acharnent sur vous, – n’ont servi jusque-là qu’à décrypter le génome humain, pour découvrir que les soi-disant responsables de ces multiples dérèglements mortels, sont “ les fameux gènes”, et lorsque ce n’est pas génétique, c’est viral, les virus. C’est à mourir de rire, oh… Excusez-moi.
Mais pourquoi ces gènes qui se sont transmis depuis des centaines de générations s’altèrent-ils subitement, et comment ces gènes dégradés peuvent-ils devenir héréditaires ? Silence pesant dans l’assemblée des scientifiques.
Et les virus, si performants dans leur pouvoir d’adaptation — mais la plupart du temps dormant — pourquoi deviennent-ils subitement si virulents ? Pas de réponse des chercheurs.
Bravo la confrérie des médecins, c’est ce qui s’appelle botter en touche, plus de responsables, ni parmi le corps médical, ni parmi les malades du corps. Tout le monde est excusé puisque ce sont les gènes et les virus, les seuls et uniques responsables. En attendant la proportion des personnes atteintes de maladies graves et de la morbidité qui y est liée, progresse d’une manière exponentielle ; et ne parlons pas des coûts et des primes d’assurance, ce n’est pas le sujet, mais quelle meilleure preuve d’incompétence.
La seule et unique raison qui permet à cette situation de se perpétuer sans une révolte générale, c’est la peur, peur de souffrir, peur de mourir et en plus il est bien commode de se décharger de ses propres responsabilités et de ses angoisses sur le puissant monolithe technique médical qui vous prend en charge jusqu’à la FIN. Enfin prend en charge vos organes et votre corps biologique, — mais pas l’homme en tant qu’être humain, faut pas trop en demander.
Mais il y a quand même une justice paradoxale : les protagonistes à tous les niveaux que ce soit, de cette médecine autocratique, depuis la modeste infirmière au PDG des multinationales pharmaceutiques, personnes n’échappent à terme, aux griffes mortelles de la MALADIE.
Allons cette médecine palliative réductrice a encore de beau jour devant elle, à moins que ce soit elle qui finisse par faire peur ou qu’elle ne manque de matière première, c’est-à-dire : Nous. Non rassurez-vous, ce n’est pas que nous serons tous en bonne santé, c’est que nous serons tous morts, fin de l’espèce humaine.
Et l’opposé de cette médecine scientifique qui était destinée à nous guérir et à éradiquer les grandes pandémies mondiales.

C’est :
  • Aller à l’hôpital pour en ressortir plus malade qu’en y rentrant !
  • Détruire (ablations) au lieu de reconstruire !
  • Permettre l’euthanasie active ou passive au lieu de soigner pour guérir !
  • Maintenir en vie des personnes contre leur gré !
  • Créer des nouvelles maladies (nosocomiales) au lieu de les supprimer !
  • Supprimer une maladie pour la remplacer par une plus virulente (maladies iatrogènes) !
  • Affaiblir les systèmes immunitaires au lieu de les renforcer ! — Et en parallèle, renforcer la résistance des bactéries et des virus par les vaccins.!
  • Mutiler un bien portant (greffe) pour prolonger la vie d’un autre !
  • Prélever des organes sur une personne saine qui vient de mourir, pour les greffer sur un malade qui ne s’est jamais préoccupée de sa santé. 
  • C’est également :
  • Avoir développé un modèle totalitaire de médecine : – chère — élitiste — technico-scientifique, spécialisée, incompréhensible, etc.
  • Rendre cette médecine inaccessible à une grande partie de l’humanité !
  • Interdire, détruire ou ridiculiser toutes les médecines différentes : coutumières, familiales, chamaniques, énergétiques, holistiques, etc.
À l’opposé de cette médecine, nous trouvons bien entendu une médecine globale, holistique préventive et humanitaire : la médecine taoïste macrobiotique.
Le plus grand progrès pour l’humanité et la plus grande efficacité pour les malades au cours de ce 21ème siècle, serait d’associer étroitement ces deux médecines, qui se complètent parfaitement, avec comme unique but, le bien-être des malades et non comme c’est le cas actuellement de donner la priorité à un modèle économique, où le malade n´est plus qu’un produit rentable dans la colonne profit des gestionnaires de soins.
C’est pour cette raison que nous militons Florence et moi depuis plus de 40 ans, et que nous avons développé une structure de médecine alternative et préventive.
Pour que ce rêve ne reste pas une utopie… pour que cette médecine plus humaine ainsi que toutes les méthodes de soins parallèles deviennent une alternative de vie pour tous et non pour quelques Bo-Bo privilégiés ou pour quelques richissimes personnages ayant abusé des plaisirs de ce monde.




Pour que l’humanité ne disparaisse pas, engloutie sous une montagne de détritus et asphyxiée par la pollution.




Gérard Wenker - juillet 2018



1 commentaire:

  1. Ce blog est un violent réquisitoire contre un système qui tient comme acquis que nous finirons tous, — délabré, sénile, croulant — et qui a mis en place une stratégie qui se dit sociale supervisée par les puissants lobbys des multinationales destinés à planifier par tous les moyens l’imminente invasion de vieillards indigents improductifs.

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