mercredi 22 août 2018

L´ART DU DIAGNOSTIC CORPOREL


Si vous comprenez ce langage corporel, même partiellement vous ne tomberez plus jamais malade... JAMAIS.







Vous pouvez en apprendre les principes en détails sur mon blog : ALERTE.

Clic ici :

Sachez qu’à l’origine il n’y a que deux sortes de maladies, toutes deux causées par un déséquilibre chronique entre - Acide et Alcalin - dû à des erreurs alimentaires prolongées, à une vie chaotique et au non-respect des cycles biologiques naturels (travail-repos, jour-nuit, chaud-froid, etc,)

Signes chroniques :
  • La peau est très sèche ou très grasse. La couleur de l’épiderme et principalement du visage est blanche (poumons), jaune (foie), brune (pancréas) ou rouge (cœur). 
  • Apparaissent des éruptions cutanées variées et fréquentes.
  • Des allergies, de l’acné, de l’eczéma, etc... 
  • Chute des cheveux. (plus + de 20 cheveux perdus chaque matin).
  • Tonicité musculaire réduite.
  • Absence de lunules sur certains ongles, voire sur tous les ongles.
  • Abdomen en besace — Empâtement adipeux ou cellulitique.
  • Effondrement de la silhouette, Raideurs vertébrales, arthrose.
  • Dans l’œil, miroir de l’âme, l’iris est décoloré, le blanc est parsemé de capillaires rouges, plus ces capillaires sont gros et près de l’iris, plus la maladie est proche.
  • Œil sanpaku. La pupille est décentrée, déformée, prédominante.
  • La langue est crevassée et chargée — les dents cariées.
  • Varicosités, vergetures, varices, hémorroïdes.
  • Rhumes fréquents, sinusites.
  • Migraines ou céphalées.
  • DOULEURS régionales aiguës ou chroniques.
À ce stade, plusieurs années d’excès et d’erreurs ont été nécessaires.
Nous aurions pu éviter d’en arriver là en pratiquant un auto-diagnostic journalier.


l’auto-diagnostic. 
L’auto-diagnostic se pratique chaque jour, le matin au réveil devant votre miroir.
Miroir au beau miroir, que me dis-tu ce matin ? Suis-je toujours si belle et en bonne santé ?
– LE MIROIR...


«Cibelle» et «Sibo»… pourquoi ces yeux rouges, et cette poignée de cheveux dans ton peigne. Tire la langue… houlala  !! Elle est toute jaune, et ton haleine… pouah, stop, n’allons pas plus loin, ça passe pour cette fois, mais si tu continues ces soirées alcoolisées enfumées, tu vas tomber malade et vieillir prématurément. Liste des points à observer chaque matin :
  • Condition du réveil — état d’esprit – gencives – aspect de la langue — nombre de cheveux perdus – blanc de l’œil – sanpaku — selles – douleur — migraine – boutons. 


Les yeux Sanpaku


  • Œil : Sampaku inférieur
  • Calvitie frontale ou totale
  • Mal de tête frontal. 
  • Yeux et pupille dilatés.
  • Yeux et pupilles contractés, yeux rouges larmoyants 
  • Nez rouge et gonflé, nez blanc et dur
  • Joues pomme rouge, joues pomme ridée
  • Lèvre rouge vif pulpeuse, Lèvre mince sèche blanchâtre
  • Gencive saignante ou rétractée
  • Langue : bleu, violette, blanche ou jaune.
  • Miction : + de 5 par jour ou moins de 3 à 4 par jour.
  • Diarrhée ou Constipation.

Tous ces signes indiquent que le sujet prépare sa maladie et que les surcharges s’accumulent peu à peu jusqu’au seuil de tolérance propre à chaque individu, où l’organisme va déclencher son système neuro-hormonal de défense afin d’expulser les substances étrangères qui empoisonnent le corps. 


C’est là que tous va se jouer.
Qui perd gagne. Guérir ou mourir.




Si vous connaissez le secret de la dialectique universelle, c’est-à-dire le rééquilibrage yin/yang vous pouvez redresser la situation en quelques jours pour des symptômes légers et en 3 mois maximum pour des manifestations plus graves.




Dans le cas contraire, vous rentrez dans la spirale infernale de la médicalisation chimique qui supprime le symptôme, mais jamais la cause et qui va petit à petit vous amener dans des situations désespérées, douloureuses et sans issue.
Pour vous sortir de cette tragédie, une seule et unique voie, étudiez l’ancienne philosophie Taoïste de la dialectique yin-yang.









 La maladie, à mesure qu’elle s’installe détruit l’harmonie des formes corporelles jusqu’à engendrer la laideur, la dissymétrie et des déformations. Cette décrépitude morphologique suit fidèlement la déchéance interne.







 Inversement, la Santé sculpte les formes extérieures du corps jusqu’à réaliser la beauté, reflet de l’harmonie interne. La perfection des formes indique toujours une haute vitalité. La plastique d’un corps traduit invariablement son état de santé.



















La santé cette inconnue
Comment savoir si je suis en bonne santé ?
Comment savoir si je suis malade ?
Comment connaître le jour de ma mort ?
C’est impossible de répondre à ces questions.
Mais bien sûr qu’il existe une réponse à ces questions.

Premier signe de bonne santé :
Pas de signe. Rien
Aucune sensation d’avoir un corps, aucune impression d’occuper son corps.
L’état de santé est un état naturel stable que l’on peut comparer à un corps flottant entre deux eaux.
Une personne en bonne santé, est toujours belle. 


ZAZEN


Soyez attentif, dialoguez avec votre corps, questionnez-le, protégez-le. Il vous le rendra à chaque instant sous forme de bonus de santé et de longue vie et dite vous bien que votre corps vous appartient, c’est d’ailleurs le seul bien que vous possédez en propre dans ce monde, vous aller devoir la supporter tout au long de votre vie, alors ne le prêter pas, ne le vendez pas, ne le détruisez pas.
          «Mens sana in corpore sano»




CHOISSEZ


Premiers signes de la maladie :

La douleur.
Aïe… Attention ça fait mal = DANGER - .
Ouille… Attention ça brule = Danger
Attention : c’est pas bon, c’est amer, acide, etc.  = Danger
Attention ; ça sent très mauvais = Danger
Attention, j’ai le vertige = Danger
Je suis bien, je flotte dans l’éther, je suis heureux, je baigne dans la plénitude, sans souci, sans douleur, sans émotion, sans peur… mais alors… comment savoir d’où vient le danger ?
La douleur, la peur, le désespoir, c’est justement ce qui protège la vie, votre vie, votre santé. 

Soyez attentifs, votre corps vous parle.

Allo… ici la compagnie des organes associés
Le ventre vous fait mal
J’ai un de ces mal de tronche !!
Et la gorge… douloureuse quand j’avale !!!
Le dos. C’est pas possible, j’ai une sciatique ou quoi ?
– Silence, je dois aller bosser… Tenez voilà des bombons.
Pan… Pan… deux ou trois coups de marteaux chimiques, pilules verte, roses, blanches - elles sont si jolies et bien inoffensives qu’ils disent…..
Et voilà, ouf… terminé… tout est rentré dans l’ordre.
– Voyons, miroir… suis-je toujours belle ce matin ?
Tiens, je perds mes cheveux !!
C’est quoi ces boutons sur mes joues ?
Ah non… des cernes !!! 
Je veux pas voir pas ça.
Mais ou est passé ma trousse de maquillage
Voilà, c’est réparé, je peux sortir et faire bonne figure.
Eh bien, vous voyez, je vous l’avais bien dit, plus d’ennuis, même pas mal, à nulle part. Bon… j’ai pas très bonne mine, et je suis déjà fatiguée, quand je me lève le matin. Allons faut positiver, un grand verre de jus d’orange, pour faire descendre les gélules de vitamine conseillée par la publicité télévisée - ils mentent pas, c’est contrôlé tout de même.

Quelques années plus tard.
Contrôle de routine chez votre médecin.  
J’ai le regret de vous annoncer la présence d’une tumeur maligne genre cancer dans un de vos seins






Mais comment c’est possible docteur, j’étais si bien, j’ai mal à nulle part, je prends mes vitamines et 5 fruits et légumes chaque jour.







Ne vous inquiétez pas, ça se soigne très bien maintenant avec la chimio et quelques séances de radiothérapie. Vous serez rapidement guérie, je ne vous cache pas qu’il y a quelques effets secondaires, mais nous avons les médicaments pour les rendre supportables.
C’est bon, c’est fini, je suis hors d’affaire.
Malheureusement, le traitement n’a pas marché, il faudra recommencer.
Pourquoi… pourquoi, tout allait si bien pour moi.
Pourquoi, je vais mourir docteur. Vous m’aviez dit… que… je… serais… serais…




MERCIIII... DOCTEUR... !!!!!

Prochain article à suivre : Clic...Clic... çi dessous.


LE MICROBIOTE INTESTINAL





Gérard W. - Août 2018















mardi 21 août 2018

POUR MOURIR DE RIEN




Partir vivant et non à demi-mort aux commandes d’un déambulateur auquel est fixé une potence supportant un  sac plastique sensé vous procurer goutes à goutes  une énergie qui ne vous est plus nécessaire.









PRÉVENIR VAUT MIEUX QUE GUÉRIR.
L’ORIGINE DES MALADIES.




SOINS ET TRAITEMENTS



Existe-t-il un état sans maladie ? dans l’absolu ...oui, mais en réalité il est pratiquement impossible, pour l’homme, d’en retrouver la source, bien que l’art de vivre macrobiotique nous en montre une approche crédible et efficace elle est toujours malgré tout partielle.
Pour découvrir le modèle original, il faut faire appel aux grandes lois de l’évolution, telles que les ont définies les deux grands naturalistes du 19ème siècle, Darwin et Lamarck.  
Comme on la souvent dit la nature a horreur du vide, chaque case du grand échiquier doit être remplie par une case noire une case blanche, une case yin une case yang, et ceci à tous les niveaux de la création ; du monde des éléments au monde des végétaux, puis à celui des animaux.
Restons dans le monde du vivant. Au cours du milliard d’années d’évolution, le développement du règne végétal et animal s’est fait à travers plusieurs milliards d’espèces, depuis les premiers simples monocellulaires, jusqu’au plus complexe des mammifères pour aboutir finalement il y a 500 000 ans à la quintessence de l’évolution, l’Homo Habilis. 
Chaque espèce occupe son espace vital, sa niche écologique, conquise de haute lutte par la sélection naturelle induite par la compétition, les mutations et l’adaptation aux conditions du milieu. 
Avant l’apparition de l’homme, il ne restait plus aucune case de libre, tous les créneaux étaient occupés de bas en haut de l’échelle biologique. À cette époque, qu’on peut qualifier d’Eden, la maladie n’existait pas. Chaque espèce était protégée et se protégeait mutuellement, totalement immunisée par les lois de la sélection naturelle. Une seule condition à cette protection, ne jamais sortir de sa de sa niche écologique dans zone vitale.  Enfreindre cette règle signifiait, envahir un espace déjà occupée par une autre espèce forcément mieux adaptée, l’intrus était alors rejeté par un affaiblissement de ses défenses immunitaires provoquant des perturbations physiologiques dans son organisme, première étape vers la maladie qui finira par entraîner son élimination. À ce niveau il n’y a qu’une seule façon d’éviter la maladie et une mort prématurée, revenir à la case départ, dans sa propre zone vitale d’origine. 
Le premier être vivant à avoir enfreint cette loi, vous l’avez compris est l’ancêtre de l’homme, probablement un grand primate d’Afrique poussé par un brusque changement climatique a quitté les grands arbres de la forêt tropicale, sa zone vitale d’origine. Certainement que la plupart en son mort, tués par les prédateurs de la savane, intoxiqués par des aliments inconnus, piqués par des insectes leurs inoculant des bactéries et des virus contre lesquels ils n’étaient pas encore immunisés ou déshydratés par l’ardeur implacable du soleil en l’absence de l’ombre protectrice des sous-bois auquel ils étaient habitués. Malgré tout, quelques spécimens vont survivent à ces conditions extrêmes, c’est indubitable puisque nous sommes toujours là, après 4 millions d’années.
Depuis ces premiers pas dans les grandes plaines d’Afrique nous avons parcouru un long chemin, tant du point de vue géographique que généalogique. De la forêt africaine à l’ensemble de la planète, d’un grand singe à l’homo sapiens sapiens, il y a de quoi être fier et reconnaissant à toute la lignée de nos ancêtres pour avoir osé enfreindre et contraindre toutes les lois de la nature.



Mais comme nous le disons souvent "plus grande la face plus grand le dos“  et la face est si grande, alors quand est-il du dos. Le dos c’est l’extrême fragilité de la vie humaine continuellement attaquée par d’innombrables maladies. Jusque-là l’espèce humaine a réussi à survivre grâce à sa phénoménale ingéniosité et à un exceptionnel pouvoir d’adaptation. Il semble malheureusement que depuis quelques décennies, nous sommes arrivés au bout de notre marche en avant, ceci pour avoir oublié les lois dialectiques de la logique universelle en particulier la 4ème. "plus grande la face, plus grand le dos "ou encore à tout avantage correspond toujours un désavantage équivalent.
Maintenant toute l’intelligence, la persévérance, la volonté de la société humaine se trouve conditionnée et dirigée vers un seul objectif. Toujours plus ; plus de PROFIT, plus d’argent, plus de plaisir, plus de loisir, plus de confort, plus de sécurité, mangez plus, plus vite, plus loin, plus haut.
Ce n’est plus le bien-être des hommes qui compte, ni l’amélioration des conditions de vie de l’ensemble de la communauté, mais l’enrichissement envers et contre tous d’une minorité.
Cette déviance à amener les hommes à s’emparer de toutes les zones vitales existantes sous terre, sur terre, dans les mers, dans les airs, et à en expulser ou à en éliminer ses occupants légitimes.
La terre aujourd’hui ne représente plus qu’une seule et unique case, une seule zone non plus vitale, mais mortelle, avec un unique occupant illégitime : L’Homme.
Au cours de sont long voyage à la conquête de nouveaux espaces vitaux, l’homme ne sait jamais adapter naturellement, s’il a survécu c’est grâce à son intelligence supérieure qui lui a permis d’inventer des systèmes artificiels de substitution. Encore aujourd’hui aucune communauté humaine ne serait capable de vivre sans ces multiples béquilles que sont le chauffage, des vêtements, une maison, l’agriculture et l’élevage, la métallurgie, les armes et les outils, les médicaments, l’écriture et la communication, etc.,etc.
La surface de la planète a été entièrement transformée et adaptée à nos besoins, la plupart des forêts ont été rasées, des fleuves détournés, des mers asséchées. De gigantesques mégalopoles abritant des millions d’individus ont été construites, reliées par d’inextricables réseaux autoroutiers et ferroviaires déroulant leurs chemins de béton et de fer sur des milliers de kilomètres. Des vallées ont été fermées par de colossaux barrages, puis inondées afin de produire l’indispensable énergie nécessaire pour faire tourner le nouveau monde industriel de l’homme.



En quelques siècles l’homme a bouleversé la surface de la planète que la nature avait mis des millénaires à façonner. Par contre en ce qui concerne la physiologie et la morphologie de son propre corps, elle est pratiquement identique à peu de choses prêt aux australopithèques d’il y a 4 millions d’années. L’Homme nu dépouillé de ses protections artificielles est plus fragile qu’un oisillon tombé du nid.
Au cours de sa longue expansion géographique, l’espèce humaine a occupé toutes les zones vitales, végétales et animales, rencontrées sur son chemin. À chaque fois il les a exploitées jusqu’à l’extinction de leurs véritables occupants qui ont été mangés ou mis en esclavage (domestiqués).

En voilà une liste non exhaustive :
Mammouths : un des premiers à être chassé jusqu’à extinction.
Bisons : tués jusqu’au dernier dans les plaines de l’Ouest Américain.
Loups : éliminés ou transformés en toutou.
Buffles : devenu vaches à lait.
Ours : chassés juste pour le plaisir et sa chaude fourrure.
Sangliers : réduit à un cochon pour ces deux jambons.
Cheval sauvage : domestiqué.
Éléphant d’Afrique : tué pour ces deux canines d’ivoire.
Éléphant d’Asie :  réduit à l’esclavage pour remplacer le tracteur.
Baleine : exterminée pour sa graisse.
Saumon : mis en cage et fumé.
Hermine : tes poils si doux conviennent aux rois.
Vison :  ta fourrure soyeuse pour les belles joyeuses.
Singes : même notre ancêtre n’a pu éviter les cages des laboratoires et des zoos. 
Des milliers d’espèces ont ainsi disparu ou sont proches de l’extinction. 
Selon les sources scientifiques officielles, 30 % du total des espèces ont déjà disparu. Dans certaines régions – Europe, Amérique du Nord, 80 % des espèces nobles, mammifères, poissons et oiseaux ont été exterminés.
En contrepartie, pour nous remercier, d’avoir été rayé de la liste des espèces vivantes, les disparus nous ont laissé un héritage ; leurs bactéries et leurs virus. 
Lorsque ceux-ci se trouvent dans une niche particulière, supprimer l’espèce animale ou végétale qui s’y trouve, on a alors un report microbiologique dans un milieu qui n’est pas adapté pour le combattre ou le neutraliser, on assiste alors à une multiplication aberrante. C’est alors l’homme qui en fait les frais. 
Voilà pourquoi. :
Plus nous oublions notre véritable origine
Plus nous nous approprions d’espace vital
Plus nous nous éloignons des modèles universels
Plus nous adoptons un mode de vie artificiel et exclusiviste,
Plus nous développerons de maladies.


Une fois une nouvelle zone occupée, il faut bien s’adapter aux nouvelles conditions pour pouvoir y survivre. Par conséquent, la première étape sont des maladies d’adaptation, qui se divisent elles-mêmes en deux branches :
a) les maladies nutritionnelles (aliments)
b) les maladies environnementales (climatiques).
c) Les dernières maladies apparurent récemment dans la société moderne, conséquence de la prolifération des maladies d’adaptation ; Les maladies iatrogènes. 
Elles sont dues aux traitements chimiques médicamenteux et aux soins collatéraux (rayons, radiations, lasers)
De nombreuses maladies ne sont plus classifiables, étant le résultat de l’accumulation et de l’interférence de plusieurs causes.
Partant de ce constat, il est possible de mieux comprendre le chemin de la guérison et de la santé. Bien que le retour aux conditions initiales des origines de l’homme ne soit plus possible, nous pouvons définir quelques règles, capables de nous protéger de la plupart des maladies.
Dans ces temps d’affaiblissement et de dégénérescence du potentiel vital humain, la meilleure protection, bien que méconnue est sans aucun doute d’appliquer les recommandations de diététique vitales macrobiotiques.
Votre corps vous parle
Votre corps vous parle constamment, écoutez-le constamment. Si vous ne l’écoutez pas, il va se mettre à crier (de douleurs) puis à hurler et finalement devant l’absence de réaction et une bonne dose d’analgésiques et de médicaments chimiques il finira par se taire définitivement.
Ouf… je suis guéri pensez vous. Mais non, pas du tout, sournoisement au plus profond de votre corps une dégradation physiologique s‘opère, qui s’attaque aux organes les plus affaiblis, à vos racines les intestins, à votre liquide nourricier, le sang, à la pompe qui le fait circuler, le cœur et même à l’ordinateur de bord qui coordonne cet extraordinaire ensemble, le cerveau.
Avant d’en arriver à des détériorations inexorables handicapantes et parfois mortelles, apprenez à décrypter les signes avant-coureurs de la maladie lorsqu’ils sont encore bénins.







Pour ça il est nécessaire d’être attentif au langage de votre corps. Chaque douleur, chaque tache, chaque modification de l’épiderme font partie du langage corporel, cette langue est bien plus facile à apprendre que l’anglais ou l’italien.
Allo… ici votre corps appelle le standard de secours. Alerte, au secours, il y danger, des toxines envahissent mes intestins — il y a trop de sucre dans mon sang — je suis en acidose permanente, cet environnement est favorable à la prolifération de certaines bactéries nuisibles —  SOS il y a le feu, de la fumée âcre se répand dans mes poumons, je peux plus respirer — mais c’est quoi… qu’est-ce qui m’arrive, tout se brouille, j’hallucine, mon ordinateur cervical a bogué, il débloque, il déconne, de la poudre blanche se dépose sur mes neurones et les paralyse. 
Du calme, du calme, ce n’est pas le moment de vous affoler, de vous précipiter aux urgences ou d’avaler une de ces miraculeuses pilules anesthésiantes.
Non… Non… Non… Appliquons les méthodes de la police scientifique :
Investigation — Réflexion — Analyse — Diagnostic — Désintoxication — Réparation.
Analysons la scène du crime : l’appareil digestif, le plus souvent incriminé et essayons de diagnostiquer l’organe qui crie… ALERTE !
Pour communiquer, il existe également, depuis la nuit des temps, un langage — le langage des signes du corps. Cette langue ancienne se nomme « L’Art du diagnostic ».
ALERTE… en langage corporel se prononce : aïe…aïee…aïeee.






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Encore une chose…


Le privilège des vieux

Les vieux qui n’en ont plus rien à foutre, voient clair et peuvent enfin dirent les choses carrément — sans calculer ce qu’il pourrait leur en coûter, financièrement ou socialement. Ils sont à la fois sages, parce que perspicaces, et fous, parce qu’ils sèment la m... C’est là ce qui les rend définitivement admirables.

Bientôt la fin du voyage, mais chacun sait, que pour aller loin, il faut voyager léger, alors je m’allège. Étanchée, la soif de pouvoir, réduite la force de l’égo, finie l’accumulation de biens, le calcul des agios et la course au profit.

Maintenant je me libère du poids des certitudes, et je peux enfin témoigner librement des expériences d’une vie hors des chemins battus et des conventions.

Au cours de ma longue vie, j’ai retenu quelques méthodes de développement personnel peu connues, que je mets en pratique depuis de nombreuses années. Ces disciplines ont en commun l’amélioration de la santé physique, psychique et spirituelle. Elles peuvent être pratiquée seules, chez vous sans l’aide de personne, elles sont gratuites et sans danger.

Ces disciplines que je vais partager avec vous dans ce manuel, sont aux nombres de dix.
Ce sont :
1° L’Art de vivre macrobiotique de Platon à Ohsawa
2° La Dialectique Universelle Yin/Yang Taoiste.
3° Lois d’attraction et pensées créatrices (Ho´ hoponopono)
4° L’acupuncture digitale : le Do-in ou  le Shiatsu 
5° L’auto-diagnostique par les signes corporels
6° La Thermothérapie différentielle de Gardelle/Dogna
7° Les bains dérivatifs
8° L’ouverture des 7 chakras par le palm-healing 
9° La Moxibustion (Moxas)
10° Soins et traitements naturels  à l’aide des médecines douces.

Ces techniques alternatives sont cumulables, complémentaires et sans danger, pour autant que vous les étudiez et pratiquiez sans faire appel à une tierce personne genre “Maître ou Gourou”. Quelques livres et une recherche sur internet suffisent. Il existe malheureusement partout des personnes bien intentionnées qui vous veulent du bien en vendant parfois fort cher du vent en échange de votre âme et de votre liberté de pensée.

Quelques règles de prudence cependant s’imposent :
1° Lorsque c’est nécessaire, et uniquement dans ces cas, ne payer que les frais réels (livres, fournitures, conférences, frais de pension, etc.) Ne jamais payer des sommes importantes, parfois plusieurs milliers de francs pour un enseignement ou des promesses de pouvoir exceptionnels. (Reiki - Avatars). N’acceptez pas de verser une dîme mensuelle (10 % de votre salaire) pour appartenir à un groupe, une association ou une secte quelconque.

2° Avancez à votre propre rythme, ne vous laissez pas entraîner dans des zones inconnues, par des inconnus mêmes et surtout s’ils vous donnent la main. Méfiez-vous du prosélytisme actif.

3° Veillez à conserver en permanence votre liberté de choix, de mouvement, de pensée, de contradiction et de renoncement le cas échéant.

Ces 3 points ne souffrent aucune exception si vous voulez évoluer mentalement et spirituellement tous en restant un homme ou une femme libre.

Voilà, maintenant après ces quelques précautions, vous pourrez profiter sans inquiétude, des techniques de mieux-être que je vais développer sur ce manuel.

Mais n’oubliez pas qu’une théorie sans pratique est inutile et que la pratique sans théorie n’est pas efficace et peut même être néfaste.







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Gérard Wenker - Août 2018